Mercredi 19 septembre 2007 à 15:55

convenance (1996)

en ma présence et mon égide, votre coeur a sa concenance

entre nous, l'amour préside,  un duo de confiance

j'ai le consentement de vos mains, pour les caresser tendrement

j'ai l'assentiment de vos yeux, pour plonger dans les miens

j'ai l'approbation de vos lèvres, pour un tendre baiser

j'ai l'accord de votre regard, pour intimement vous aimer

  (déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:51

dans mes strophes  (1996)

j'ai placé dans mes rimes

 vos yeux, votre sourire

j'ai pour vous , de l'estime

j'ai placé dans mes tercets

vos mains et votre coeur

j'ai pour vous , un amour discret

j'ai placé dans mes strophes

le bonheur et la ferveur

d'un poéte philosophe

et mes rimes vont finir

j'ai pour vous, des vivats

dans mes strophes, que je viens d'écrire

 (déposé à la sacem)

 

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:48

la dame à la dérive  (1996)

la dame à la dérive

elle longe chaque soir , la rive d'un long canal

la dame à la dérive

les passants la décrivent , comm' une triste femme, seule et sans ami féal

la dame à la dérive

personne ne l'attend, personne ne la réclame

ses nuits sont froides, ses jours sont longs

ils passent et se suivent, bien loin , du chant des grives

la dame à la dérive

elle va, dormir sous les ponts

sans savoir , si au matin , elle se lèvera ou non

  (déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:40

artistes  (1996)

il est des hommes rares qui ne sortent jamais de nos mémoires

loin de ceux ,qui just' un soir ou un court instant d' histoire

ne durent qu'un éphémère temps et sont oubliés de ce temps présent

mais de Georges , Jacques ou Leo

il nous reste leurs notes, leurs mots

leurs mélodies éternelles, leurs diverses ritournelles

et de Serge à Edith ou encore d'autres hommes ou femmes

chanteurs, poétes, il nous reste des souvenirs

ils ont des noms , ils ont des âmes

où le mot, "artiste" nous vient, avant le mot "vedette"

 ( déposé à la sacem )

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:34

le porte tambour  (1996)

toi, le porte tambour, tu avances dans les rangs

tomberas tu à ton tour, coulera t'il , ton sang

ton rythme est à l'honneur, sur le champ de bataille

t'entoure , l'horreur car déjà sous la mitraille

s'écroulent des soldats et tu marches toujours

tu gardes le même pas, le rythme du tambour

mais, face à l'adversaire, sous les balles, tu t'endors

le tambour de la guerre, se décroche de ton corps

un instant silencieux, il repart sans toi

tu as fermé les yeux. Un autre soldat

déjà a pris ta place, au coeur du conflit

il craint la mort, en face de l'ennemi

  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:27

nature (1996)

nature, je vais les pieds nus,

sur votre douce et tendre verdure

errant,, loin dans vos sentiers

alors que vous me regardez

 (déposé à la sacem)

 

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:25

l'âme paisible  (1996)

en ta chair humaine , en ton corps prècieux

au long de tes veines, coule l'instant heureux

en ton coeur humain, coule l'éxixtence

d'un bonheur commun, à ton âme et conscience

 ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:22

encore hier vous  (1996)

encore hier, vous eussiez choyer et accorder votre présence

A l'heure du soir, soudain, vous préferez choir

encore hier, vous eussiez aimer, avec honneur, charme et décence

A l'heure de la nuit, soudain l'histoire se finie

adieu madame, la vie est parfois , bas de gamme

quand le coeur reste cloué au sol

adieu madame, la vie est parfois un court drame

suivi d'un nouvel envol

   (déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:18

la fugue  (1996)

la fugue, elle va sur le piano, des matins, des après midi

la fugue, elle va , de do à do, des jours entiers, des nuits

sans diapason , oh! la la la, elle se fait des do ré mi fa sol

sans accorder ses violons, elle joue les dièses et les bémols

dans l'air, seule elle va , dans ce temps qui coure

dans ce temps qui n'attend pas, il fugue à son tour

nocturne et matinale, elle se joue au piano

parfois se fait la malle, avec des la si do

et le temps se fait la belle, il s'enfuit avec elle

vient la fugue du temps, vient la fugue des amants

et temps file le parfait amour, avec la belle fugue en cavale

tout deux, loin déjà , courent, autour du piano, les silences s'installent

  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:10

sans confusion ni quiproquo  (1996)

vous me laissez l'alternative, le choix de partir ou rester

mais dans les jours qui suivent,  ma présence , vous plairez

sans confusion ni quiproquo, timidement ,se glissent les mots

dans le creux de mon oreille, j'e, retiens des merveilles

la bonne marche à suivre, serait celle de vous dire

je reste avec vous vivre, si votre amour peut me convenir

et maintenant , que tout est dit, c'est vous, qu'allez partir, sauf si

de ma voix , je vous dis, qu'ensemble nous resterons ici

 ( déposé à la sacem)

 

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