Jeudi 27 mai 2010 à 10:21


l'éclaircie en mer  (2008)

la brume se leva
vint l'éclaircie en mer
l'horizon infini

une mouette passa
la mouette solitaire
en son vol et son cri

des bateaux naviguèrent
quelques embruns swinguèrent
la brise d'un vent aussi

ce fût la vie qui vogue
d'un jour en son prologue
de la brume évadée
d'un soleil, l'arrivée

éblouissant nos yeux
d'un horizon heureux
d'un bonheur en plein air
de l'éclaircie en mer

  (déposé à la sacem)

Lundi 24 mai 2010 à 11:09


le contact des vies humaines (2008)

c'est parfois dans l'air orageux
et souvent la même rengaine
quand çà vous fait froid dans les yeux
que çà vous laisse comme un gène

c'est parfois limite fièvreux
à celui, premier qui dégaine
à s'en bruler d'son propre jeu
à y laisser des ailes en peine

çà peut être doux, harmonieux
d'un grand bonheur, loin de la haine
sans jamais être dangereux
le contact des vies humaines

çà peut faire vibrer tant de coeurs
laisser tant de bons souvenirs
çà peut être un peut de chaleur
un si peu qui fera plaisir

  (déposé à la sacem)

Samedi 22 mai 2010 à 15:20


le cri du vent est parfois fort  (2008)

le cri du vent est parfois fort
le cri du vent vient du dehors
quand il est froid, il glace nos corps

le cri du vent, glisse en des trous
le cri du vent, sans rendez vous
s'invite quelques fois chez nous

le cri du vent peut être aussi
en de très douces mélodies
d'un air souriant, plein de vie

le cri du vent a ses humeurs
calme ou violent, selon les heures
oh! du défillé des saisons
le cri du vent change de ton

  (déposé à la sacem)

Mercredi 19 mai 2010 à 10:43


l'épine du mal  (2008)

quand l'épine du mal
vient piquer en plein coeur
c'est la baisse de moral
l'interieure douleur

quand l'épine du mal
sous son air de démon
est la cause brutale
de l'infidèle poison

elle s'en va, mais vous pique
elle vous blesse, sans remord
d'un plaisir satanique
vous engourdit le corps

adieu, belles passions
du jour de la rupture
adieu, belles fusions
des duos, sans futur

(déposé à la sacem)

Samedi 15 mai 2010 à 14:57


la masure  (2008)

c'est une maison qu'est en ruine
d'un triste sort, oh! délabrée
la pluie y vient, y dégouline
y installe son humidité

c'est une maison, au triste toit
et pas dans un très bon état
où s'y glisse souvent le froid

oh! c'est une triste masure
court sourire, sans un ciel azur
mais d'un regard qu'est sans la joie
quand la pluie tombe en son endroit

 (déposé à la sacem)

Lundi 10 mai 2010 à 10:38


l'écureuil (2008)

oh ! branche après branche,je vais
en ces arbres de la fôret
recherchant quelques tendres noix
pour les emporter par chez moi

je fais aussi mes provisions
oh ! de croquantes noisettes
mettant le tout à ma maison
les déposant en mes cagettes

par la fenêtre,je jette un oeil
oh ! çà sent le retour du froid
je fais un feu,moi, l'écureuil
car bientôt, l'hiver arrivera

j'ai ma réserve pour la saison
buches de bois et nourritures
je peux donc chauffer ma maison
et manger,sans verte nature

 (déposé à la sacem)



Vendredi 7 mai 2010 à 11:43


le poète gardien  (2008)

A l'orée automnale
vont les rimes matinales
sur le chemin du jour
qui doucement accoure

quand s'annonce l'automne
d'un soir, aussi se hissent
des rimes en terres bretonnes
quand les jours rétrécissent

du matin jusqu'au soir
en ce temps automnal
y'a du haut de son phare
le gardien principal

il prend souvent la plume
en ce lieu solitaire
entouré de la brume
ou l'éclaircie de mer

il glisse des mots marins
ce poète gardien
et dehors les embrums
caressent la mer, sans fin

 (déposé à la sacem)

Mardi 4 mai 2010 à 14:24


c'est un rêve oublié (2008)

c'est un rêve oublié
du fond de la mémoire
un rêve éparpillé
c'est un tout qui s'égare

c'est un doux rêve enfouit
du fin fond de l'oubli
c'est un rêve sans nom
un tout, sans horizon

c'est un rêve de la vie
d'une mémoire en débris
c'est un tout du passé
c'est un rêve oublié

  (déposé à la sacem)


Samedi 1er mai 2010 à 11:08


les flammes de la tièdeur  (2008)

il vous verra venir
il pourra vous entendre
d'un duo de plaisirs
vous irez vous étendre

vous asseoir tendrement
de calins en douceur
de beaux enlacements
des flammes de la tiédeur

loin des enfantillages
vus irez, l'on devine
en bien d'autres voyages
en des flammes coquines

vous aurez tout le temps
la douceur des amants
vous aurez tour à tour
les regards de l'amour

vous glisserez ensuite
dans ce lit et ses draps
quand la nuit s'y invite
tout deux sur deux le matelas

il viendra le sommeil
la nuit bercant vos rêves
enlacés à merveille
lui l'Adam et elle l'Eve

  (déposé à la sacem)

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