Jeudi 20 septembre 2007 à 14:54

crépuscule (1997)

un fil de lumière, un fil minuscule

un fil qui erre, quand vient le crépuscule

dans la matinale nature, j'ai la plume ,l'écriture

au crépuscule, des vers naissent

tôt , le matin , l'encre caresse, le papier

devant les yeux de la rosée

et mon écriture crépusculaire

s'évade avec le fil de la lumière

 (déposé à la sacem)

 

 

Jeudi 20 septembre 2007 à 14:50

vas (1997)

vas, ne reviens pas, si c'est pur me dire,

que tu ne restes pas, vas fuis sans revenir

tu ne verras pas mes larmes

tu n'entendras pas mes pleurs

vas , tu es l'inoubliable charme

d'un sourire qui fuit mon bonheur

vas, sans te retourner, vas, sans regret, vas ailleurs

laisses , la fragilité de mon coeur

avec le temps, il remonteras la pente

tu sais, qu'il se lamente

mais tu vas quand même

vas, je vais clore mon poéme

   ( déposé à la sacem)

 

Jeudi 20 septembre 2007 à 14:45

suivre le temps  (1997)

il veut vivre au prèsent, sans quitter le passé

il veut courir face au vent, sans jamais reculer

il veut suivre le temps, vivre au jour le jour

être dans le devenir de l'amant, aller vers les yeux

dont les siens en font le tour

il veut suivre le temps, sans voir disparaitre l'amour

ivre d'être un amant, derrière le temps, il coure

marchant fac' au vent, il a le coeur plein d'oxygène

il a le sourire de l'amant, il a une vie libre et saine

il veut suivre le temps, courir au coeur des champs

au jour le jour, il veut vivre

il veut suivre le temps, il sait que le futur l'attend

au delà de l'hiver  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 17:02

un arbre (1997)

des feuilles sur une branche

se baignent , dans la rosée d'un dimanche

l'arbre où elles vivent, se glorifie de sa hauteur

son tronc a sa juste posture, il s'élève en silence, au fil du temps qu'avance

loin d'être malade, l'arbre se porte bien

dans le vent, ses feuilles se baladent

quand elles croisent  Eole,

 elles lui sourient, avant d'atteindre le sol

en ce dimanche silencieux

l'arbre s'entoure d'une belle nature

sur son tronc majestueux

 descendent et montent des insectes, de tailles miniatures

en ce dimanche, le vent chatouille , le corps des fleurs

elles éternuent de leurs calices, les parfums du bonheur

en ce dimanche, autour de l'arbre, les parfums jaillissent

closant mes rimes, je laiss' un arbre

un arbre heureux , de vivre au coeur d'une  campagnarde nature

  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 16:53

le clair de la lumière (1997)

dans le clair de la lumière , je me glisse , dans son précieux regard

loin de l'obscur, loin du noir, j'ai mes yeux ,vers ses yeux bleus azur

je la contemple, je l'admire, elle m'offre un agréable sourire

cette réalité, me conviens, son tendre sourire, je retiens

je la regarde, la vois venir, elle s'approche de mon coeur

la lumière s'est éteinte,  dans le noir, c'est la joie

il n' y' a pas de complainte,  mais juste, le bonheur d'un roi

la lumière s'est éteinte,  il n'y'a pas de peine

il n'y'a pas de contrainte, mais juste, le bonheur d'une reine

 (déposé à la sacem)

 

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 16:26

la vitre pleure , les larmes de la pluie (1996)

derrière une vitre , bien à l'abri

je regarde , tomber la pluie

je regarde , les gouttes d'eau

qui coulent le long du carreau

   déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 16:16

ces vers que je compose (1996)

assis sur un ballot de paille, je t'offre ma poésie

quand un orage de taille, te fais peur , ma tendre amie

nous courons sous la pluie, pour trouver un abris

librement, j'y écris, ces vers que je compose

quand sur moi , ton regard se pose

devant ton troublant regard, j'invente cette histoire

celle d'un bouton de manchette perdu dans un jardin

près d'une roue de charrette, il se lamente sur son sort

quand un mégot de cigarette, pas tout à fait éteint

tombe près de la charrette et lui porte réconfort

loin de la silhouette, d'un homme qui fume

le bouton de manchette voit le mégot qui se consume

et je cesse de conter cette histoire inventée

je cueill' une fleur, pour la joie de ton coeur

ce n'est pas l'accacia, ce n'est pas l'aubépine

mais une rose pour toi, une rose sans épine

une rose de toute duceur ,  qui te combles de bonheur

 ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 16:07

paysage alsacien (1996)

je me souviens de mon séjour

dans le paysage alsacien

de Westoffen jusqu'à Strasbourg

d'une brume épaisse du matin

s'éloignent dans l'avancée du jour

les rimes de mon sixains

je me souviens de toi , Alsace

de ta ville de Strasbourg

ses beaux quartiers, ses places

mais déjà loin ,je coure

et ce sizain retrace

un passage , bien trop court

  (déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 16:03

nous ne sommes pas du même âge (1996)

nous ne sommes pas du même âge, mais qu'importe

en ce jour ensoleillé , mon coeur ,vous ouvre sa porte

nous ne sommes pas du même âge, mais quelle différence celà fait

en ce jour ensoleillé, mon coeur, vous laisse entrer

 (déposé à la sacem)

 

Mercredi 19 septembre 2007 à 15:59

la dame en deuil  (1996)

au fond d'un cercueil

un mort repose  tranquillement

chaque jour, sa dame en deuil

vient lui parler, tout comme avant

du cimetière à chez elle

elle traverse son village

elle cache ses larmes qui ruissèllent

avec un voile noir, sur son visage

oh! tristes rimes poétiques

pour cette dame pieuse

au regard de veuve pleureuse

  ( déposé à la sacem)

 

<< Page précédente | 156 | 157 | 158 | 159 | 160 | 161 | 162 | 163 | 164 | 165 | Page suivante >>

Créer un podcast