Mardi 18 septembre 2007 à 14:50

la promise  (1996)

oh! charmante promise, goutons à ces fruits délicieux

défendus, comme certains le dise , mais celà nous importe peu

laissons nous emporter, puisque la table est mise

allons ensemble déguster, ces folles gourmandises

oh! ces fruits défendus, vous font soudain rougir

votre coeur est ému, ils sont un régal, un plaisir

oh! ces fruits défendus sont pour vous, un frisson

vous n'êtes pas déçu, car ces fruits sont si bons

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 14:45

la fuite des regards complices (1996)

quand la peur se glisse, dans le coeur amoureux

vient la fuite des regards complices, du fond des yeux

cette peur rend anxieux, dans l'attente d'un non dit

jusqu'à l'heure de l'aveu, où l'amour prend vie

quand la joie se glisse, dans le coeur amoureux

les regards sont complices, des plus heureux

 ( déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 14:42

le roulement de tambour  (1996)

le roulement de tambour,  qui s'entend en son coeur

est une preuve d'amour,  un signe révélateur

ce tam tam intèrieur,   qui traverse son corps

est le rythme d'un bonheur,  au tendre réconfort

  ( déposé à la sacem)

 

 

Mardi 18 septembre 2007 à 14:39

dans le ciel  (1996)

tout est nickel, tout est parfait

je déploie mes ailes, pour m'envoler

vers le ciel , je m'élance, tout là haut , je vole, looping et danse , dans le vent d'Eole

de cett' hauteur, je chante au vent

les nuages font les choeurs, le soleil est souriant

dans le ciel, quelle évasion,

dans le ciel, les nuages font un canon

le soleil sourit toujours.  Dans le ciel, quel bonheur

des nuages, je fais le tour durant des heures

 (déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 14:34

instant idyllique (1996)

le ciel s'est mis à pleurer, suite à votre départ

ses averses, il a déversé, à coup de déséspoir

mon coeur a prié , pour que cesse la pluie

en lui même, il a cherché, l'amour évanouit

mon coeur a révé , de l'instant idyllique

d'un départ, le regret. Seul, il reste poétique

amoureux pour toujours, mon coeur reste romantique

amoureux, il savoure , l'instant idyllique

  (déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 14:22

l'heure de la délivrance (1996)

d'une recherche intèrieure, vient l'adéquation parfaite

d'un enracinement au sol et vers le haut

ancré au fond de soi, chacun laisse couler en lui, une libre énergie

tout ceux qui ôtent l'inaccessible en eux, peuvent rendre leur vie plus viable

le chemin peut parfois être long, chaque route est personnalisée

avec persévérance , arrive un jour, l'heure de la délivrance

en acceptant le soi qui vit en nous, tout devient osmose avec l'extèrieur

chaque jour est un enrichissement, un atout supplémentaire

quoi qu'il arrive, une défaite , une victoire,

une dérive, un bonheur immense

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 14:15

différences  (1996)

je laisse à ceux qui comprendront, le soin de ne pas fuir les différences

je songe aux autres qui , peut être resteront imbéciles pour toujours

je donne à ceux qui vont vers ces regards dit "anormaux" un merci mérité

j'incite, les autres à réfléchir aux vraies réalités

tout homme , quel qu'il soit a le droit de vivre sur terre

même si se différence , dérange parfois ceux qui en sont génés

    (déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 10:06

poéte  (1996)

je ne suis pas Rimbaud,  je ne suis pas Prévert

j'ai des rimes, j'ai des mots,  des quatrains et des vers

je ne suis pas La Fontaine,  je ne suis pas Appolinaire

je ne suis pas non plus Verlaine,  mais pour toi, ce poéme t'es offert

je suis un poéte solitaire  qui par amour, écrit des vers

je suis un poéte musicien,  qui pour toi, compose ces quatrains

je ne suis ni Mozart ni Bethowen

just' un poéte musicien,  qui a l'écriture dans les veines

dans le coeur des refrains

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 9:59

le grand miroir  (1996)

si tu croises une dame,  qui soudain d'un sourire

ne vole pas ton âme,  ne cheche pas le plaisir

va voir au fond de ses yeux,  au delà du grand miroir

tu verras ,peu à peu , le réel regard

d'un sentiment qui jamais ne s'estompe

des yeux qui jamias ne trompent

tu n'auras pas le couteau , dans le dos

qui laisse une plaie profonde dans la peau

ce regard ne te jouera pas de tour

au delà du grand miroir, jaillira le grand amour

 (déposé à la sacem)

 

 

Mardi 18 septembre 2007 à 9:51

Lacenaire  (1996)

poéte de naguère, t'as vu l' heure de la guillotine

t'avais l'art et la manière, pour l' écriture des plus fines

poéte d'hier, de ton prènom, Pierre- françois

ton nom était Lacenaire, d'une famille de bourgeois

tes écrits, tes méfaits, nous laissent des traces

de ta vie passée, sans grâce

le préfet de police, les juges, la loi

ont choisi comme justice, la guillotine pour toi

tu as refusé, les travaux forcés

la guillotine t'as approuvé

toi qui était , d'hier, Lacenaire

je clos mes vers, adieu à toi, Lacenaire

  ( déposé à la sacem)

 

 

<< Page précédente | 159 | 160 | 161 | 162 | 163 | 164 | 165 | 166 | 167 | 168 | Page suivante >>

Créer un podcast