Mercredi 26 septembre 2007 à 11:45

vois comme ton coeur  (1998)

vois comme ton coeur reste mièvre, sans la douceur de ses lèvres

vois comme ton coeur rest' affecté, sans l'amour de ses baisers

vois comme ton coeur brule, vois comme il brule, jour et nuit

toi qui te fais minuscule, dans ce monde qui grandit

vois cette vie qui t'entoure,  surtout ne joue pas avec

tu as la fièvre de l'amour, et ton corps reste sec

vois cette vie qu'avance,  vois comme elle est belle

vois cette difference,  avec le monde réel

vois de ce monde à part,  le reflet du bonheur

vois comme ton coeur est avare, de ce monde sans douleur

  (déposé à la sacem)

 

Mercredi 26 septembre 2007 à 11:31

" bonjour  chers visiteurs de mon bllog "

voici donc la suite de mon univers poétique que  je vais recopier tranquillement

période 1998-1999

"fin de siècle"

qui réunit 38 poémes commencant par

"vois comme ton coeur" et finissant par "une véritable artiste"

biensur il y'aura aprés , les années (2000---) mais chaque chose en son temps

bonnes lectures et découvertes à tous

 que vous veniez pour la 1ère fois ou que vous soyez de retour sur mon blog

Emmanuel 

 

 

Dimanche 23 septembre 2007 à 18:18

bonjour !  bonjour !!

je voulais dire , un grand "MERCI" à toutes les personnes venues sur mon blog,

 depuis sa crétion le 2 septembre de l'an 2007 où j'ai glissé une première partie de mes créations

 (1990 à 1997)  /  et super sympa tout les messages ou tags  reçus

je prend aussi le temps d'aller découvrir d'autres blogs,  car il y'en a un grand nombre en tout genres

qui sont intérréssant à voir et à  revoir pour certains

bonne journée ou bonne soirée, selon l'heure à la quelle ,vous lirez cette page

        poétiquement votre de Emmanuel   "autresrimes"

 

"à suivre---- "(1998---)

 

Dimanche 23 septembre 2007 à 17:55

coeur de porcelaine  (1997)

il y'a comme un gène, tu as brisé, son coeur de porcelaine

la douceur qui coule dans ses veines, ce corps si doux, comme de la laine

y'a comme un venin,tu as cessé l'envie de son entrain

la chaleur qui vit dans ses mains, oh! sort cruel, tu es bien loin

tu l'a assommé, anéanti, depuis le jour, où t'es parti

j'ai du recoller, les morceaux brisés, d'un coeur de porcelaine

j'ai du consoler, l'amour terminé, d'un coeur de porcelaine

y'a rien à dire, le mal est fait, reste l'avenir, reste le regret

 ( déposé à la sacem)

 

Dimanche 23 septembre 2007 à 17:01

automne, hiveer, printemps , été (1997)  acrostiche

                                   Auriez vous, pour mon coeur

                                         Une part de compassion

                                                   Tant il vit un malheur

                                                        Oubliant plus qu'une passion

                                                                    Même si le temps avance

                                                                                Ne vous faites pas d'illusion

                                                                                                       Entre peine et silence

 

                                                       hier, me laisse le poison

                                                                  Il  reste gravé en mémoire

                                                                            Voyez vous , je n'ai plus rien

                                                                                              Entre le matin et le soir

                                                                                                             Rien oh! non rien

 

                        pas même une lueur d'espoir

                                   Regardez devant vous

                                           Il y'a cet homme abattu

                                                  Ne pouvant plus tenir debout

                                                             Tant son coeur ne vit plus

                                                                               En ce jour de tristesse

                                                                                      Même demain sera la peine

                                                                                                 Par ce temps qui me blesse

                                                                                                           Solitaire coeur qui traine

 

                                                     Etourdissant  sourire

                                                             Tu me laisse sans vie

                                                                     Entends tu, mon coeur mourir

  ( déposé à la sacem)

             

 

 

Dimanche 23 septembre 2007 à 11:41

le mousquetaire  (1997)

en jetant à terre son gant, il déclara à haute voix

qu'il verserait le sang, des ennemis du roi

en sortant son épée, il défia l'ennemi

le sang ,il fit coulé, nombreux, perdirent la vie

d'un temps passé, d'un temps d'hier

revient dans nos mémoires, le mousquetaire

  (déposé à la sacem)

 

Dimanche 23 septembre 2007 à 11:38

la grisaille de novembre  (1997)

la grisaille de novembre se trouve parmis nous

la grisaille de novembre, dans l'automne a son rendez vous

et  temps grisonne, sa tristesse prend place

les feuilles jaunes, n'ont pas de grâce

les voilà, une à une qui tombent sur le sol

et je n'en vois aucune qui n'échappe à la mort

dans la grisaille de novembre, triste est leur sort

  ( déposé à la sacem)

 

Dimanche 23 septembre 2007 à 11:34

les sentiments confus  (1997)

est ce , le vous ou le tu ?, nos sentiments restent confus

d'une bise sur ta joue, le tu ôta le vous

mais le vous est revenu, après t'avoir revu

est ce simple pudeur, de la part de mon coeur !

du votre au mien, quel beau chemin

j'ai dit, "vous " tien!, que se soit tu ou vous

 loin de nos sentiments confus ,aimons nous

le temps laissera le vous pour un tu éternel

loin d'une bise sur votre cou,  prés de toi , la nuit sera belle

  ( déposé à la sacem)

 

Dimanche 23 septembre 2007 à 11:22

l'écriture du bonheur  (1997)

quand le mal se brise,est ce que le mal au coeur se cicatrise

car loin de l'écriture du bonheur, j'écris la tristesse et la mélancolie

j'écris , sans honte et sans pudeur, une faiblesse de la vie

quand l'amour s'enterre, est ce que le gout du désir se perd

car loin de l'écriture du bonheur, j'écris la peine et le désarroi

j'écris, sans rêve, sans joie, j'écris avec ce mal au coeur

loin de l'écriture du bonheur, j'écris de vous avoir perdu

loin de l'écriture du bonheur, je le recherche et ne trouve plus

( déposé à la sacem)

 

Dimanche 23 septembre 2007 à 11:14

quatrains poétiques  (1997)

de Verlaine à Raimbaud

y'a l'amour, la blessure

la grandeur de leurs mots

j'admire, leurs écritures

 

de Rimbaud à Verlaine

y'a la joie , y'a la peine

leurs belles poésies écrites

des quatrains poétiques

  (déposé à la sacem)

 

 

 

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