autresrimes

j'aime me perdre au pays du blues  (1997

loin des javas, des valses anciennes, j'ai le blues qui s'écoule dans mes veines

loin des tangos, des rocks en sueur, j'ai le blues qui s'écoule dans mon coeur

j'aime perdre au pays du blues, quand swinguent les mélodies

j'aime me perdre au pays du blues, dans le jazz de la vie

j'aime me perdr' au pays du blues, quand mes dix doigts improvisent

j'aime me perdre au pays du blues, quand mon coeur n'en fait qu'à sa guise

loin des reggaes, d'un folk ancien, j'ai le blues dans les lignes des mains

loin des polkas, d'la pop anglaise, j'ai le blues et je m'y sens à l'aise

loin des skas jamaiquaines, j'ai le blues tout au long d'la semaine

loin des bossas, des tambours d'Afrique, j'ai le blues ,version accoustique

loin du rêve américain, j'ai le blues au coeur de mes refrains

loin de la country, des belles balades, j'ai le blues , couleur promenade

loin des rumbas afro-cubaines, j'ai le blues ,version quotidienne

loin des salsas et des divas, j'ai le blues au bout de mes doitgs

loin de toutes ces musiques, j'ai le blues aux notes dynamiques

loin d' l' air des belles mélodies, j'ai le blues au coeur de ma vie

 ( déposé à la sacem)

le silence berceur (1997)

loin d'un violent vacarme, c'est dans le silence berceur

que se dévoile, le charme,  le charme du séducteur

loin des nuisances, des bruits,  c'est dans le silence berceur

d'une belle nuit, que né le bonheur

loin de tout brouhaha,  c'est dans le silence berceur

que l'amour s'en va,  vers la porte du coeur

loin des cris d'une foule,  c'est dans le silence berceur

qu'un séducteur roucoule, auprès de l'âme soeur

  (déposé à la sacem)

sans importance (1997)

vous qui parlez, avec emphase,vos paroles sont bien vides

vos mots sont insipides,  au coeur de vos phrases

vous qui avez , l'air prétencieux,  vos paroles ne veulent rien dire

vos mots sont ennuyeux,  ils prêtent même à rire

d'un discour sans importance,  il n'en ressort , rien

vous qui trépignez d'impatience,  vous n'irez guère loin

si conseil, je puis vous donner, veuillez consulter votre coeur

changer donc de destinée, cette voie choisie est une erreur

 (déposé à la sacem)

illusion (1997)

allongé dans l'herbe, j'ai du ciel, une vue superbe

d'un bleu entouré de nuages,  j'ai l'illusion d'images

je ferme les yeux, m'endors un instant

j'oubli ce bleu, j'oubli  le temps

l'illusion devient rêve, les images m'entourent

j'ai le corps qui s'élève, vers ce bleu , d'un jour

j'ouvre les yeux, je ne vole plus

je fixe , ce bleu, l'illusion d'un grand vol m'a plu

 ( déposé à la sacem)

la rupture  (1997)

A

si vous la désarmez de cet amour, que la femme voudrait fidèle

son coeur conservera , jusqu'à la fin de ses jours, la tristesse et le désarroi

si vous la basculez dans la solitude éternelle

ell' y laissera sa vie, son coeur et son sourire

troublée à tout jamais, de ne pouvoir aimer cet homme inoubliable

perdue, dans cette réalité, arrivant sans prévenir

loin d'un conte, d'une fable, elle se laissera mourir

B

si vous le désarmez de cet amour que l'homme voudrait fidèle

son coeur conservera jusqu'à la fin de ses jours, la tristesse et le désarroi

si vous le basculez dans la solitude éternelle

il y' laissera la vie, son coeur et son sourire

troublé à tout jamais, de ne pouvoir aimer cette femme inoubliable

perdu dans cette réalité, arrivant sans prévenir

loin d'un conte, d'une fable , il se laissera mourir

 ( déposé à la sacem)

sur les ailes de la vie (1997)

sur les ailes de la vie, file un temps sans arrêt

d'un jour, d'une nuit, il devient l'imparfait

sur les ailes de la vie, libre il coure, sans ralentir

vers le futur, il fuit, le prèsent ne pouvant pas , le retenir

   ( déposé à la sacem)

avril  (1997)

alors qu'avril nous quitte, j'éffeuille une margurite

l'amour sera t'il , à la folie, pas du tout , pour la vie

dans l'air printanier, je sens le parfum du muguet

et me voilà qui coure, vers le chemin des beaux jours

le mois de mai s'installe, j'ai dans les mains, les doux pétales

d'une marguerite de mon jardin

songeant déjà aux jours d'été

je garde, les pétales de la fleur

impatient, trop préssé, s'élance follement mon coeur

de mon poéme printanier, les beaux jours vont venir

et les vers de l'été devront bientôt fleurir

 ( déposé à la sacem)

les journées du temps (1997)  acrostiche

       Les journées du temps

,Entourées de la vie

                  S'annoncent belles au printemps

Je suis là, silencieux

 Oh! la nature m'entoure

  Un visage merveilleux

                  Regarde mon coeur avec amour

                                                                                                                    Ne dois je pas

         Etr' heureux de cet instant

                                                                                                                      Et voir là

          S'annoncer , l'amour confiant

                                                                                                                    D'avoir osé, croiser

               Un regard, plongé dans le mien

Toute la vie a changé

      Et les journées du temps

     Maintenant , sont belles

     Pour le coeur des amants

                                                                                                                    Silencieux et fidèles

    déposé à la sacem)

la grisaille  (1997)  acrostiche

                    Les beaux jours , nous quittent, 

       allant vers d'autres cieux

              grisaille et nuages s'invitent 

                     ramenant , un ciel pluvieux        

 il faudra se couvrir ,

              si le temps rafraichi             

                                         avec la saison à venir ,'aura la pluie             

                                   le vent d'Eole aussi , les jours plus courts 

et la neige sera de retour 

(déposé à la sacem)

archives (1997)

Eole , souffle son vent

le temps erre dans les nuages

me reviennent des souvenirs d'antan

je retourne les archives, page après page

les années se suivent, elles me laissent en mémoire

un grand nombre d'archives, où j'y range des histoires

et je croise, dans mes vers, Eole qu'est de retour

A mon tour, comme  le temps, j'erre , je coure

  ( déposé à la sacem)