Mardi 18 septembre 2007 à 15:50

sur la terre enneigée (1996)

sur la terre enneigée qui me conduis au col

je laisse avec mes pieds, des traces sur le sol

le ciel est blanc, se lève le soleil

je vais errant, la montagne me surveille

le col, j'ai atteins, il me faudra bientôt

quitter ce site alpin, après prises de photos

sur  terres enneigée, je redescend comme par la montée

je laisse le col, je retrouve mes traces sur le sol

(déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 15:44

il y'a des liens  (1996)

il y'a des liens qui se nouent et qui durent trés longtemps

car au fil des rendez vous, se consolident les sentiments

il y'a des liens qui durent à vie, des beaux, des grands, des fidèles

où se retouvent les amis, autour d'une amitié réelle

il y'a des liens pour toujours, ressèrant des mains , ressèrant des coeurs

il y'a des liens trop courts. Des liens sincères, des plus sympas

des liens qui ne s'oublient pas

  (déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 15:31

le fusil ou la fleur  (1996)

il a jeté son fusil

il a cueilli une fleur

pour refleurir sa vie

pour qur brille son coeur

  ( déposé à la sacem) 

Mardi 18 septembre 2007 à 15:29

éphémère (1996)

éphémères connaissances, loin des belles existances

éphémères sourires, loin des plus longs désirs

éphémères connivences, amour sans espèrance

d'un début, pas de fin

èphémère, de toi, je suis loin

 ( déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 15:25

amour, je te croise (1996)

amour , je te croise, dans le coeur de mes phrases

amour; je t'écris, dans les entrailles de ma vie

au profond de mon être, amour , je te vois naitre

fildèle à mon regard, tes yeux restent mon espoir

mais d'un abandon de ta part, ma vie serait inerte

d'une fuite, d'un départ, j'irai marcher , sur le chemin de la perte

sans toi , mon coeur attristé , songerait à vieillir

sans toi, mes yeux aveuglés ne pourraient plus saisir

cette lumière qui jaillit , en ta présence

amour, je t'écris, sur mon honneur, que sans toi, je pleure

mes pas sont affaiblis, je t'aime à la folie

je t'aime à tout jamais

amour, tu es l'avenir de ma vie

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 15:19

septembre est de retour  (1996)

septembre est de retour

les enfants courent, vers les bancs de l'école

avec le cartable à la main, avec rire ou chagrin

ils s'agitent, ils s'affolent

  (déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 15:16

la dernière chance  (1996)

oh! foudroyé par l'orage, avec le coeur patraque

le tourment , le retiens en otage, il reste sans réplique, sans attaque

oh! brisé, sur le sable comme un coquillage

usé, au bout de tout, il cherche à fuir le grand naufrage

en pensant qu'il a des atouts

il lutte avec force et espoir, reculant le départ ou évitant la fuite

ne le menant nulle part, ensuite

et puis, vient la relance

 l'heure de la dernière chance

celle d'un grand  bonheur, qui ravit son coeur

  (déposé à la sacem)

 

 

 

Mardi 18 septembre 2007 à 15:10

j'ai cueilli de la bruyère  (1996)

j'ai cueilli de la bruyère ,  pour en faire un bouquet

qui lui sera offert, en guise d'amitié

j'ai cueilli de la bruyère et je viens lui porter

j'ai deux ou trois fougères, pour garnir le bouquet

j'ai cueilli de la bruyère et elle m'a remercié

d'une amitié sincère, nos coeurs se sont liés

j'ai cueilli de la bruyère, puis elle m'a demandé

si nos coeurs solitaires, dépasseraient l'amitié

j'ai cueilli de la bruyère, nous nous sommes mariés

de l'amitié d'hier, un grand amour est né

  ( déposé à la sacem)

 

 

Mardi 18 septembre 2007 à 15:04

la complainte d'un soupirant  (1996)

je n'ai plus rien , non rien du tout,  tu viens d'ôter ma forteresse

sans haine, sans dégout,  j'en appelle en détresse

oh! toi qui fuis, reviens finir,  reviens abattre, l'âme à détruire

oh! oui, reviens et sans discour,  abrège ma tristesse en cours

j'avais révé de ces beaux jours, qui ne s'oublient jamais

mais déjà loin , tu coure, oh! toi ma bien aimée

j'ai conté ces quatrains,  la complainte d'un soupirant

qui pris d'un profond chagrin, voit son coeur , mourir lentement

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 18 septembre 2007 à 14:58

les bougies et les poétes  (1996)

le soir, les bougies s'allument et rougissent sans rien dire

les poétes sortent leurs plumes et se mettent à écrire

des mots étourdissants

alors que , tout doucement, les bougies se consument

les poétes oeuvrent harmonieusement

sur le papier , glissent leurs plumes

oh! l'encre écrit l'amour à l'heure des dernières flammes

oh! se lève le jour,. Ravis sont les coeurs des femmes

pour qui, les poétes ont écrit, tout au long de la nuit

leurs plus belles pensées, des mots d'amours étourdissants

et puis, s'épuisent les bougies, vient le terme de leur vie

oh! sans rien dire, avec discrétion, elles vont mourir

les poétes restent seuls, au jour, l'encre a écrit l'amour

  ( déposé à la sacem)

 

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