la complainte d'un soupirant (1996)
je n'ai plus rien , non rien du tout, tu viens d'ôter ma forteresse
sans haine, sans dégout, j'en appelle en détresse
oh! toi qui fuis, reviens finir, reviens abattre, l'âme à détruire
oh! oui, reviens et sans discour, abrège ma tristesse en cours
j'avais révé de ces beaux jours, qui ne s'oublient jamais
mais déjà loin , tu coure, oh! toi ma bien aimée
j'ai conté ces quatrains, la complainte d'un soupirant
qui pris d'un profond chagrin, voit son coeur , mourir lentement
( déposé à la sacem)