Mercredi 12 septembre 2007 à 14:05

premiers éssais  (1995)

de mes premiers éssais de poéte

de mes premiers mots sortis de la tête

de mes premières poésies

des premières notes aux premières mélodies

de mes premières dérives,de mes premières victoires

des premiers jours qui suivent, au premier grand espoir

des premiers instants rudes, aux premières sorties

des premières solitudes,aux premières rencontres de la vie

du premier éssai musical, aux premiers quatrains

du premier poéme amical, aux premiers instants divins

des premiers rêves , aux premières réussites

des premières brèves aux premières sans limites

de ce tout , un chemin

un chemin parcouru, avec freins et entrains

de ce tout, vient l'instant où j'écris au présent

les premiers éssais d'avant

  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 12 septembre 2007 à 11:01

l'envie de vos mains (1995)

judicieux est votre choix, j'approuve , l'envie de vos mains

celle de rester là, dans un présent commun

ensemble elles se promènent, les votres tiennent les miennes

et puis quand je m'envole, si haut, si loin du sol

de mes voltiges, je vous donne , le vertige

de retour , près de vous, je suis tout fou

l'envie de vos mains, reste la même qu'avant

les votres, les miennes sont bien

profitons donc ensemble, de ce bel instant

  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 12 septembre 2007 à 10:55

le temps des frimas  (1995)

près des jours bleuatres, le froid vient de s'abattre

sur un arbre sans feuille, l'hiver est en son seuil

l'automne étant parti, voici le temps des frimas

l'arbre n'a pas d'abri, sur lui, s'abat le froid

ses branches ploient,  quand au dehors

souffle si fort, l'aquilon,sous le vent du nord

elles plient, vont flèchir, sous le vent du nord

elles se brisent et sur le sol vont mourir

l'arbre crie sa misère, sous le temps des frimas

dans le froid de l'hiver, la glace , lui gèle son bois

tout seul, au coeur des terres,passe sur lui, l'épais brouillard

tout seul, il attend la fin de l'hiver, dans un profond cafard

 ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 12 septembre 2007 à 10:48

petits lais sympathiques  (1995)

poémes lyriques, mélodies bretonnes

petits lais sympathiques, vos vers redonnent

à la poésie ou à la musique

un bel élan de vie, fort et dynamique

  (déposé à la sacem)

 

Mardi 11 septembre 2007 à 16:07

oh belle nitescence  (1995)

oh! belle nitescence qui vient de bon matin

belle lueur , tu avances, tes pas sont quotidien

oh! belle nitescence, chaque jour est différent

loin d'être ressemblance dans la vie et le temps

oh! belle nitescence, d'indissociables similitudes

des regards similaires sont entre toi et la lueur

quand ton sourire rayonne à l'orée d'un prèlude

où le soleil a son heure, tu restes bell' et claire

parfois tu te fais timide, tu te caches dérrière

les nuages intrépides ou les coups de tonnère

par temps de glace, triste est ta face

si le soleil ne vient pas éclaircir

la pudeur de ton sourire

il n'a pas son éclat joyeux

sous un temps d'hiver neigeux

sombre, fade et sans désir

il reste obscur

oh! belles nitescence, ton éclat est si pur

nous profitons , de ta présence

loin de ces heures obscures

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 11 septembre 2007 à 15:56

la face extèrieure et la face intèrieure (1995)

quand les grandes puissances et la plus haute autorité

ont atteint l'importante croissance

se laissent 'elles entrainer ,vers des chemins corrompus, vers les lois de l'interdit

refusent elles toute entre vue , mêm' au plus cher prix

fuient elles , les secrets défendus, gardés précieusement à l'abris

loin des yeux  à l'affut , d'une vérité à la pureté infinie

si grandes soient elles , leurs faces découvertes reflètent elles leurs faces cachées

est ce que leurs faces secretes sont différentes de celles médiatisées

restent elles honnetes ou osent elles nier !

nier le mensonge d'un jour , qui laissera un passé douteux

nier leurs mauvaises fois

trompent elles les lois, ou sont elles fidèles au monde !

  ( déposé à la sacem)

 

 

Mardi 11 septembre 2007 à 15:46

y'a des villes  (1995)

y'a des villes oubliées , y'a des villes dépassées

il y'a celles où j'y repasse, il y'a celles avec leur place

y'a des villes pour apprendre, y'a des villes ou s'y rendre

pour l'accueil des sourires, pour des fleurs et des rires

y'a des villes déjà vues, y'a des villes qui m'ont plu

il y'a celles qui me laisse venir, il y' a celles que je préfère fuir

y'a des villes à revoir, y'a des villes en mémoire

il y'a celles si belles que je m'y attarde

y'a des  villes au soleil , y'a des villes où je veille

il y'a celles parfumées, il y'a celles à aimer

y'a des villes ici et loin, y'a des villes en quatrains

il y'a celles où je jett' un oeil, puis je repars

il y'a celles où je m'arette un soir

y'a des villes sans regard, y'a des villes de brouillard

il y'a celles de la grisaille , il y'a celles de la pagaille

y'a des villes traversées, y'a des villes évitées

il y'a celles vu en coup de vent, il y'a celles où j'y passe du bon temps

y'a des villes sympathiques, y'a des villes en musique

il y'a celles qui savent attendrir, il y'a celles qui savent retenir

y'a des villes isolées, y'a des villes fatiguées

il y'a celles sans saveur, il y'a celles sans bonheur

y'a des villes aux souvenirs, y'a des villes qui savent vieillir

il y'a celles à reconstruire, il y'a celles à détruire

y'a des villes connues, y'a des villes parcourues

il y'a celles que je croise, dont celles aux bell' ardoises

y'a des villes fleuries, y'a des villes sans vie

il y'a celles sans ennui, il y'a celles de la nuit

y'a des villes filmées, y'a des villes appréciées

tant de villes où passer, tant de villes où mettre les pieds

y'a des villes inconnues, y'a des vill' aux belles rues

il y'a celles qui valent le déplacement

il y' a celles où s'érigent de beaux monuments

y'a des villes de lumières, y'a des villes où j'erre

just' un instant et je fuis ces sombres villes sans vie

y'a des vill'historiques, y'a des villes cyniques

il y'a celles colorées, il y'a celles décorées

y'a des villes et encore toujours des villes

du sud au nord, y'a des villes de l'est

il y'a celles de l'ouest, tant de villes

vues ou à voir , toutes ayant une histoire

 ( déposé à la sacem)

 

 

Mardi 11 septembre 2007 à 15:15

chemins semés  (1995)

chemins semés d'angoisses, de hain' ou de rancunes

qui jamais ne s'éffacent, étalées à la une

quand des découragements divers surviennent et nous dépassent

ils vont avec le temps qui ne tien pas en place

chemins semés de poisses , de peines ou d'amertumes

chemins où rien ne remplace, les bonnes vieilles coutumes

traditions de familles qui vont et rest' encore

sans être mal  habile, ni chercher les efforts

loin d'une fumée brumeuse, des rencontres tumultueuses

chemins semés de rêves, de vers et d'aventures

quand le plus haut s'élève, quand le bonheur est sur

l'inutile est laissé, pour la tranquille liberté

les coeurs glissent leurs passions, au fil des jours qui vont

si l'orage sème ses embuches, si vient la rage ou déborde la cruche

d'un souffle , tout repart, chassant la tempête d'hier

 les heures noires gorgées d'enfer

chemins semés d'archets qui coulissent sur le ventre des violons

qui en rougissent avec une grand' émotion

chemins semés d'hommes qui au fil de toutes leurs traditions

doivent savoir éviter l'usure , au coeur de leurs unions

ils doivent fuir la rupture, qu'arrive par un élan stupide ou une évitable raison

chemins semés d'un bel instant musical

ou les notes nous font une fugue idéale

chemins semés, loin de la haine , près de l'amour

mais apprendr'à aimer même son plus grand ennemi

n'est pas facilement donner à tout homme qui vit

le non pardon, le plus lointain oubli sont des fuites faciles

qui peuvent conduire vrs l'accumulation de tant d'inutile

chemins semés de tout , de grand, de fort

chemins semés de tout , où le toi ou le vous

se croisent et se croiseront encore, avec ou sans rendez vous

   ( déposé à la sacem)

 

Mardi 11 septembre 2007 à 14:56

trop longue sera la nuit  (1995)

souffle ou soupir qui passe, laissant signifier un hélas

souffleou soupir tenace, laissant dérrière une trace

trop longue sera la nuit avec ses silences réunis

pas un seul geste et fait, le coeur n'a plus de courrant

tout seul, il manifeste et s'écoule le temps

trop longue  sera la nuit qui accompagne sans bruit

le souffle ou le soupir de la mélancolie

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 11 septembre 2007 à 14:48

oh! vous musique (1995)

je suis vigilent , attentif à votre égard

je suis prèsent , au fond de votre vif regard

douceur et non virulence, fait le bonheur de notre histoire

votre charme n'a pas d'égal, il est pour moi , telle importance

quand vos airs romantiques s'installent

je vis l'instant, sous le signe d'un bonheur intense

loin du bruit et de la violence,vous m'inspirez , confiance

oh! vous musique, dans vos bras,tendrement , la vie est belle

oh! vous musique, que je cottoie, régulièrement, notre amour est fidèle

  (déposé à la sacem)

 

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