Samedi 29 septembre 2007 à 15:55

quand tomberont nos murs  (1998)

quand tomberont nos murs, s'ouvriront nos fontières

recontruirons nous ,les cassures, ou laisserons nous, tout ouvert

et de l'autre versant, j'attends que tu reviennes

c'est déjà le printemps, loin des murs de la peine

et de l'autre côté, tu as le coeur perdu

quand la pierre fut montée, je cru t'avoir perdu

et de ce temps passé, l'heure est enfin venue

quand la pierre est tombée, je t'ai enfin revu

et sont tombés nos murs, s'ouvr'au grand jour, nos frontières

nous laisserons , toutes les cassures, pour que tout puisse, rester ouvert

  (déposé à la sacem)

Samedi 29 septembre 2007 à 15:48

d 'Eole à Morphée  (1998)

j'ai vu , d'une fraiche nature, un vert idéal

Eole souffle un vent. dors la nuit en ce jour

j'ai vu du regard de mes yeux, l'horizon alentours

et d'Eole, un vent coure et se glisse en mon cou

et la nuit fut venue, elle me pris par surprise

endormi dans son corps, belle nature me retiens

oh: j'ententds en mon rêve, les mots qu'Eole souffle à Morphée

au doux soleil levant, j'ai gardé les mots d'Eole à Morphée

  (déposé à la sacem)

Samedi 29 septembre 2007 à 15:42

la belle (1998)

je me suis fais la belle, mais sans la troisième manche

la cavale fut partielle, je dû manquer de chance

je me suis fais la belle, je suis repris, que c'est bête

d'une tentative nouvelle, l'évasion est parfaite

j'ai gagné , la première partie, mais la seconde manche

elle fut, pour l'ennemi, qui me repris , dimanche

je me suis fais la belle, pas celle qu'est dans le film

j'ai volé une selle et un cheval sublime

mais seul, contre tous, combien de temps, tenir

le shérif à mes trousses, sans cesse je dois fuir

oh! quell' sera ma fin, pour le moment , je coure

je prends le dernier train, le quitterait , dans un bourg

en descendant du train, ma belle s'arret' ici

le shérif n'est pas loin, il otera ma vie

çà devait avoir lieu, finir tragiquement

oh! j'ai fermé les yeux, le shérif est gagnant

  ( déposé à la sacem)

 

Samedi 29 septembre 2007 à 15:34

aux confins de la nuit  (1998)

dans les profondeurs nocturnes

je rêve, loin de Saturne

la tête, dans d'autres étoiles

aux confins de la nuit, je rêve toujours

il y'a les charmes infinis, de Morphé , qui m'entourent

A la fin de la nuit, je termine mon rêve

et le jour , je bannis, car Morphé, il m'enlève

  ( déposé à la sacem)

 

Samedi 29 septembre 2007 à 15:30

le sourire d'un poéme  (1998)

quand il y'a de la tristesse , dans tes vers, il y'a de la joie, dans ton coeur

quand il y'a de la peine, dans tes yeux, il y'a le sourire d'un poéme

quand il y'a l'amour poétique, il y'a des quatrains heureux

quand il y'a une joie authentique, il y'a le sourire d'un poéme

quand il y'a le bonheur qui erre, il y'a des rimes qui pleurent

des quatrains malheureux et la fin d'un poéme

  (déposé à la sacem)

 

 

 

Samedi 29 septembre 2007 à 15:25

le fleuve (1998)

il coule, sa vie tranquille, à ses défauts débordements

c'est son côté fragile, quand vient la tempête et le vent

il erre,  étend son lit, sur plusieurs kilomètres

le fleuve, loin s'enfuit, dans la mer , il pénètre

inconnu , des rivières, des lacs, des océans

il s'élance dans la mer, par calme ou ouragan

les troupeaux de toutes races, d'une rive à celle d'en face

vienn' et s'abreuvent, de l'eau du fleuve

de cett' eau ou glisse parfois, quelques bateaux en croisière

elle les mène, tout droit , aux frontières de la mer

 ( déposé à la sacem)

 

 

Samedi 29 septembre 2007 à 15:19

je laisse aller mon écriture  (1998)

je laisse aller mon écriture, dans ce temps qui erre

je laisse aller mon écriture, sur le chemin des mots

de la morte saison aux journées estivales

j'écris ce qui me vient de l'oral

d'inspirations nocturnes ou journalières

naissent l'écriture de mots, éclosent des vers

de la non poésie éphémère

je n'écris que pour le bonheur de la poésie

je n'écris que pour un siècle qui s'éteint

je ne prends mon crayon que pour le temps qui fuit

je ne prends mon crayon que pour le siècle de demain

  (déposé à la sacem)

 

 

Vendredi 28 septembre 2007 à 20:30

y'a toujours un poéme  (1998)

il y'a de l'incertitude , là où il y'a des doutes

et aussi de l'inquètude, à en perdre sa route

il y'a des vies sans nuages, des bonheurs quotidiens

il y'a des gens sans image,qui se cheche et en vain

y'a des bonheurs trop courts, des absences infinies

y'a le temps de l'amour, y'a le temps de la vie

y'a un temps , sans adresse, y'a un temps qui défile

il y'a un temps qui stresse, il y' a un temps tranquille

et il y'a toujours un poéme, qui parle du temps, de l'amour , de la vie

et il y' a toujours un poéme, écrit , le jour ou la nuit

  (déposé à la sacem)

 

Vendredi 28 septembre 2007 à 16:22

la mort d'un soldat  (1998)

tous les matins, elle guette, derrière sa fenêtre

elle attend , la venue, de ce bel inconnu

qu'elle aima autrefois, mais qui ne viendra pas

derrière les rideaux, elle espère ce héro

elle attend pour rien.

d'hier , d'aujourd'hui et demain, il reste la mort d'un soldat

celui d'une nuit , qu'ell'aima

mais d'une promesse de revenir

le sang aura coulé avant

le soldat se voyant mourir

n'a pu accomplir son serment

et derrière la fenêtre, il y'a une femme 'agée

qui ne veut pas admettre, la trop vraie vérité

et derrière tout ce temps

y'a la mort qui rappelle

elle va rejoindre son amant

celui d'une seule nuit

et derrière les rideaux ,il reste le souvenir

de l'attente du héro, qui ne put revenir

aujourd 'hui , réunis, dans la mort, dans l'amour

ils vivent une autre vie, le bonheur , nuit et jour

 ( déposé à la sacem)

 

 

Vendredi 28 septembre 2007 à 16:11


le souvenir des amants  (1998)

biensur il y'a eu des tempêtes
des instants difficiles
à force de se prendre la tête
un amour bien fragile

et chaque jour , je me souviens
de cet amour au quotidien
qui brisait notre vie

et chaque soir, je me rappelle
de cet élan, d'amants cruels
qui déchirait la nuit

mais de ces jours, de cet étrange amour
d'un matin gris jusqu' au doux sourire du soleil
nous sommes loin des vieux amants
que nous chantait si bien, Jacques Brel

et le temps, nous donne des rides
des tourments, des regrets
et le temps, nous laissa un vide
un amour imparfait

et la vie d'hier que nous vécumes
fut une vie sans désir
cette vie d'amants qui se consume
est une vie à bannir

  (déposé à la sacem)


 

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