Dimanche 21 octobre 2007 à 15:18

le non bélligèrant  (2003)

oh! nonchalance, manque d'ardeur

triste  prèsence, dans la noirceur

oh! morne guerre, triste conflit

au gôut amer, aux coeurs sans vie

loin de tout ceci, il y'a le non bélligèrant

un être , sans fusil, le coeur libre et vivant

 ( déposé à la sacem)

 

Samedi 20 octobre 2007 à 11:15

juste un quatrain  (2003)

juste un quatrain
aux premiers rayons du soleil
juste un quatrain
dans un doux printemps qui s'égaye

 (déposé à la sacem)

 

Samedi 20 octobre 2007 à 11:12

y'a des musiques qui font  (2003)

y'a des musiques qui font pleurer, qui font jaillir un'émotion

qui font tourbilloner, le coeur dans la passion

y'a des musiques qui vous conduisent, vers des voyages merveilleux

quand leurs mélodies sont exquises, qu'elles vous envoutent le coeur, les yeux

y'a des musiques qui vous  émeuvent et vous font frissonner de joie

y'a des anciennes et y'a des neuves, des comme celles qui ne s'oublient pas

loin d'un titres éphémère au gôut âpre insipide

y'a des musiques sincères qui ne prènent pas une ride

  ( déposé à la sacem)

 

 

Samedi 20 octobre 2007 à 10:50

au printemps de la plume  (2003)

au printemps de la plume

que nos vers sont amères, que nos vers sont courtois

nous poètes nous eumes

hier écrit la peine, un autre jour ,la joie

sans masque et sans costume

souvent les mots nous viennent, quand on n' s' 'y attend pas

il n'y' a pas de coutume

aucunes lois qui gènent, il n'y'a rien de tout çà

nos rimes sont éternelles, ell' sont nos souvenirs

notre mémoire fidèle, d'hier à l'avenir

d'un printemps de la plume, aux saisons à venir

nos rimes se consument, mais jamais sans vieillir

c'est elles qui font le deuil, nous voyant disparaitre, nous poètes vieillissants

elles rest'ent en nos recueils,  nous les avons vu naitre, nos plumes en font  serment

mais , nous poètes absents, du haut de nos nuages

nous sommes encore prèsent, quand vous lisez nos pages

  (déposé à la sacem)

 

 

Jeudi 18 octobre 2007 à 10:36

la joie mais pas la peine  (2003)

j'aurai pu écrire la peine, mais la joie est venue

et déjà le bonheur , m'entraine, je n'en suis pas déçu

et si ma plume devait perdre la joie

alors je devrai écrire la peine

mais çà n'en vaudrait pas, je garde le bonheur en moi

j'ai donc , écris la joie, çà en valait la peine, la peine d' écrire celà

quand on se donne la peine, d'avoir le coeur en joie

circule dans ses veines, un bonheur bien à soi

  (déposé à la sacem)

Jeudi 18 octobre 2007 à 10:30

ah! nos jolies chansons françaises  (2003)

elles vont avec le temps, laissant deux vieux amants, vieillir éternellement

ah! nos jolies chansons françaises, elles ont une bohème et une javanaise

elles ont des refrains de toujours, avec des textes aux mots d'amour

elles ont des emmène moi danser, un coeur grenadine,des que je taime  à volonté

elles ont aussi des gris clairs et gris foncés, une bille de verre

et un voilà l'été , ell' ont d'autres éternels succés

ah! nos jolies chansons françaises, leurs douces mélodies nous plaisent

de notre coeur à nos oreilles, ell' nous envoutent,  nous emerveillent

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 18 octobre 2007 à 10:23

A l'heure où j'écris  (2003)

A l'heure où , j'écris mes vers, dans un silence solitaire

y'a des gens qui connaissent l' enfer, des bombardements surs leurs terres

A l'heure où, j'écris mes vers, y'a des soldats qui errent en plein coeur du désert

A l'heure où, j'écris mes vers, y'a des gens qui enterrent

un proche  une soeur, un frère, une victime de la guerre

A l'heure où, j'écris mes vers, venus du profond de ma chair

y'a des soldats , dans la poussière et des civils qui vont se taire

loin d'un champs de bataille austère, ici je referme mes vers

dans ce poétique univers

 (  déposé à la sacem)

Mercredi 17 octobre 2007 à 20:45

les yeux de la ville  (2003)

quand les yeux de la ville ont fermés leurs paupières

et que tout devient vil ou qu'il n' y'a rien à faire

c'est l'solement total, le temps s'enfuit, s'écoule

oh! que tout est banal, très loin d'un bain de foule

mais est c' ailleurs, en l'absence du jour

dans l'isolement du coeur, que se ressource l'amour

de ton propre intèrieur

A cette heure tardive, quand dehors rien n' s'active

finalement le banal n'est plus

c'est le bonheur venu, qui le remplace si bien

quand sera t'il demain !

fuiras tu , cette foul' en bain, marginal' à tes yeux

fuiras tu, ce sans cesse va et vient, qui t'oublie peu à peu

une pièce par ci , par là, qu'on jette sans un regard

et un monde de lois qui te chasses du trottoir

 (déposé à la sacem)

 

Mercredi 17 octobre 2007 à 20:35

printemps de l'amour (2003)

au rendez vous des sentiments, y'a des bisous dans le cou

des lèvres sur les joues, la pudeur d'un instant

et un frisson qui envahit le corps, quand le vent fait la bise

A l'ouverture du doux printemps, ton hirondelle d'amour revient

elle roucoule à sa guise, dans un p' tit vent du nord

aimer à la folie, aimer éperdument

et l'amour bat de l'aile, ne roucoule plus au vent

oh! qu'il fait déjà froid, en toi cour' un frisson qui te glace les os

oh! les saisons s'écoulent, direction , pays chaud

et rendez vous  chez nous, au prochain des printemps

des printemps de l'amour

  (déposé à la sacem)

 

Mercredi 17 octobre 2007 à 20:19

dans les pages d'un journal  (2003)

dans les pages d'un journal, çà nous édite , l'anormal

la une d'un monde qui tourne mal et les gros titre du local

çà publie le sportif , au meilleur de sa forme

çà rectifie , l'erreur énorme, de l'édition de la veille

de bon matin, çà imprime, le déchirement de la vie conjugale

la détresse, la mort , la déprime et bonne nouvelles régionales

dans les pages d'un journal, c'est l'évolution d'une guerre

il y'a la vie , sur le papier, des gens d'ailleurs et d'ici

y'a la vie en tristesse, y'a la vie en bonheur

dans les pages d'un journal, y'a du festif, du plaisant, de l'amer

  ( déposé à la sacem)

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