Mercredi 17 octobre 2007 à 20:45

les yeux de la ville  (2003)

quand les yeux de la ville ont fermés leurs paupières

et que tout devient vil ou qu'il n' y'a rien à faire

c'est l'solement total, le temps s'enfuit, s'écoule

oh! que tout est banal, très loin d'un bain de foule

mais est c' ailleurs, en l'absence du jour

dans l'isolement du coeur, que se ressource l'amour

de ton propre intèrieur

A cette heure tardive, quand dehors rien n' s'active

finalement le banal n'est plus

c'est le bonheur venu, qui le remplace si bien

quand sera t'il demain !

fuiras tu , cette foul' en bain, marginal' à tes yeux

fuiras tu, ce sans cesse va et vient, qui t'oublie peu à peu

une pièce par ci , par là, qu'on jette sans un regard

et un monde de lois qui te chasses du trottoir

 (déposé à la sacem)

 

Par leganyme le Jeudi 18 octobre 2007 à 2:38
tu fais bien de le protéger à la sacem...
 

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