Mardi 23 octobre 2007 à 20:36

sur une feuille chiffonnée  (2003)

sur une feuille chiffonnée,,

j'ai déposé des vers

deux quatrains d'affilée

des rimes printanières

sur une feuille chiffonnée

au coeur d' l'après midi

un court poéme est né

le voici qui finit

 (déposé à la sacem)

 

 

Mardi 23 octobre 2007 à 20:32

la fin d'une feuille froissée  (2003)

pardon si je vous ai froissé, oh madame la feuille

mes excuses, mes regrets, votre coeur les accueille

mais pas pour très longtemps, vous allez me maudire

ma poubelle vous attend, dans un proche avenir

qu'il est triste votre sort, mais il en est ainsi

et sans aucun remord , je vous jette chère amie

mes vers sont recopiés, sur une feuille non froissée

oh! madame la feuille, de vous , je fais le deuil !

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 23 octobre 2007 à 20:26

BONJOUR CHERS VISITEURS DE MON BLOG

BIENVENU EN MON UNIVERS POETIQUE

Après avoir fini de recopier 100 poémes ecrit en 2003

je vais poursuivre avec d'autres poémes ecrit entre la fin 2003 et

l'année 2004 " sur la route des poèmes" qui commence par le poéme

"la fin d'une vie d'une feuille froissée" et se termine par le

poéme  " de l'écrit des poémes"

depuis septembre 2007, date de la création de mon blog, je suis ravi de

voir le nombres de visites sur mon blog et vous en remercie tous, que

vous soyez là ce soir pour la 1ère fois ou alors que vous êtes

parmis les fidèles à revenir

OH MERCI !!

vous souhaitant de bonnes lectures poétiques

et heureux de vous lire en tag et commentaires

poétiquement votre de "autresrimes"

Emmanuel

 

 

 

 

Mardi 23 octobre 2007 à 10:39

ma plume glisse  (2003)

voici les prémices d'un printemps retrouvé

et ma plume glisse, un hiver est passé

oh! c'est la fin avril, c'est bientôt le muguet

oh! les saisons défilent , viendra l'heure de l'été

et pui l'on s'étonne que le temps passe vite

arrive l'automne et l'estival nous quitte

et ma plume glissera, vers un temps hivernal

dans l'âtre brulera , un bon feu idéal

  ( déposé à la sacem)

 

 

Mardi 23 octobre 2007 à 10:33

c'est un bateau  (2003)

c'est un bateau , sans mat, c'est un bateau sans ancre

c'est un bateau sans rame , un bateau sans moteur

c'est un stylo qui va et qui écoule son encre

pour un bateau sans âme, pour un bateau qui pleure

c'est un bateau usé , dans un marin cimetière

c'est un bateau brisé, qui ne prend plus la mer

  (déposé à la sacem)

 

Lundi 22 octobre 2007 à 18:59

dans le langage des fleurs  (2003)

aimez vous sous le lilas blanc en éffeuillant la marguerite

déclarez vous vos sentiments avec un bouquet de tulipes

entre pudeur et delicatesse, offrez vous des violettes et des bleuets

avec ardeur, cueillez l oeillet, avec amour , cueillez la rose

oh! s'envient le muguet, que la peine soit close

voilà le retour du bonheur, dans le langage des fleurs

  (déposé à la sacem)

 

Lundi 22 octobre 2007 à 18:48

au pied d'un arbre en fleurs  (2003)

au pied d'un arbre en fleurs, c'est la vie qui rayonne

au pied d'un arbre en fleurs , c'est l'amour qui bourgeonne

c'est l'amour de l'été, c'est l'amour d'une saison

pas l' amour printanier, d'une amourette sans passion

saison aprés saison, l'amour s'en va mourir

ou renait pour de bon et se laisse cueillir

au pied d'un arbre en fleurs, c'est l'amour qui murit

au pied d'un arbre en fleurs, c'est le bonheur de la vie

   (déposé à la sacem)

Lundi 22 octobre 2007 à 18:43

juste le temps d'une amourette  (2003)

assis sur le gazon, vous cueillez une paquerette

pètale après pètale, vous l'éffeuillez,juste le temps d'une amourette

A l'heure où le printemps s'installe, à l'heure où le soleil rayonne

tombe le dernier pètale et l'amour tourbillonne

et la jolie paquerette se termine, quand l'amourette s'est fanée

le poéte clot ici ses lignes

le printemps laisse la place aux doux amours de l'été

 (déposé à la sacem)

 

 

Lundi 22 octobre 2007 à 10:05

un rêve classique  (2003)

j'ai des adagios dans la tête, des symphonies et des préludes

en piano, violon et trompette, dans un rêve  classique

j'ai au bord d'une rivière, une rencontre peu ordinaire

y péchant la truite de Schubert, dans un rêve classique

j'ai la joie , je suis enchanté, de croiser Mozart et sa flute

qui m'invite à venir jouer, un quatre mains, piano en ut

dans un rêve classique

et quatre saisons sont passées, Vivaldi composa un air

lui aussi , je l'avais croisé, c'était déjà,   l'année dernière

dans un rêve classique

où sont passés     barber et puis Albinoni

les voilà dans mes vers , leurs adagios aussi

mais voilà que ce rêve classique,soudain fugue et s'enfuit

adieux les grands airs symphoniques, quand se termine la nuit

 ( déposé à la sacem)

 

 

Dimanche 21 octobre 2007 à 15:28

le dormeur dans le prè  (2003)

le dormeur dans le prè  n'est pas celui du val

que Rimbaud composa

c'est un autre dormeur, les yeux vers les étoiles

d'un printemps deux mille trois

cent trent' trois ans séparent, celui du val au prè

chacun a son histoire, tout deux reposent en paix

mais ont ils vécus le bellicisme  ou l'instant du geste d'héroisme

avaient ils en eux, l'amour du combat ! ou bien , la désertion du non soldat !

(déposé à la sacem)

 

 

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