Mardi 4 septembre 2007 à 21:41

quand elle se donne (1992)

 

un vieil air de blues, nous mène en louisiane

quelques notes épousent le rêve du bluesman

un vieil air d' St Louis, nous mène en bateau

au coeur de la nuit, sur les bords du mississippi

bluesman du cap du Baton rouge , ton piano résonne en Louisiane

de Louisiane ou d'ailleurs , la musique est une fleur

quand elle se donne aux musiciens, comm'une sirène aux marins

un vieil de blues , devient une éthique

quelques notes épousent, un blues historique

bluesman fatigué, nous mène en ballade

saophone usé, sur les bords du canal

 

 

(déposé à la sacem)

Mardi 4 septembre 2007 à 21:33

l'averse d'un long tourment (1992)

 

j'peux pas dormir, noyé d'ennui , un soir d'orage

j'peux plus écrire , les mots deviennent mélancolie, page après page

le ciel est gris , sans espèrance, je suis là, seul sans resistance

la nuit pleut l'averse d'un long tourment

le vent souffle l'ombre d'un nuage

la nuit me garde en otage

le jour tarde à venir, j'peux plus dormir

la nuit pleut l'averse d'un long tourment

( déposé à la sacem)

Mardi 4 septembre 2007 à 21:27

lucky guy (1992)

il me tarde tant de vous le dire,,oh! combien votre présence peut me réjouir

je me languis de votre absence, et me permet auprès de vous cette avance

il se fait tard , vous avez froid,mais vous êtes si bien auprès de moi

oh! je tarde tant a vous le dire,je ne sais comment vous l'écrire

my lucky guy

il me tarde tant de vous le chanter, oh! combien , je veux vous l'avouer

je me languis de cette attente,et pourtant auprès de moi , vous êtes présente

oh ! my lucky guy

et si un jour , la chance me tend les bras,accepterez vous de partir avec moi

puisque c'est avec vous , que je veux fuir là-bas

et si un jour , la chance me tend les bras, cessez de réfléchir, oh! suivez moi

puisque je vous désire , oh! confiez moi votre sourire

 ( déposé à la sacem)

 

Mardi 4 septembre 2007 à 16:13

quand le pianiste tombe en amour (1992)

pourquoi la la vie nous mène , vers tous les gens qu'on aime

est ce la juste valeur, d'un désir d'aimer sans peur

pourquoi l'âme que l'on traine , récolte l'amour que chacun sème

la victoire est le juste bonheur , d'une histoire sans douleur

et sur une scène à son piano, quand le pianiste tombe en amour

il nous fait partager les mots, qu'il a écrit un soir , autour d'une mélodie et d'un regard

pourquoi la terre est ronde, tant de questions sur notre monde

le destin est le long parcours, d'une vie , d'un amour

pourquoi l'homme est fragile, quand son coeur traine en ville

la douleur et la peine sont ses deux lourds problèmes

pourquoi l'homme est robuste, quand l'amour est si juste

la douceur de ses gestes est une pensée qui reste

et sur une scène à son piano, quand le pianiste tombe en amour

le temps de quelques mots, oh! pour toujours

  (déposé à la sacem)

 

Mardi 4 septembre 2007 à 15:52

innocence (1992)

de cette belle écriture, des mots sur le papier

aux profondes chansons pures, j'ai choisi mon métier

de rêve nachevés , il me reste un naufrage

du haut de mon rocher , j'apprends le beau langage

il me viens des idées , du fin fond de la mer, du haut de mon rocher

 d'un instant éphémère , il me viens l'idéal du fin fond du désir

d'une approche magistrale, où vas t'elle me conduire !

innocence , innocence , d'un instant éphémère, innocence ,innocence , le goût de l'outre mer

innocence , innocence , où chacun son chemin,innocence, innocence , j'ai choisi le mien

de mes plus lointaines pensées écrites, aux plus profondes de mes paroles

dans le vent se précipite, la poésie d' Eole

et du haut de mon rocher , du fin fond de la mer, me viens l'idée , d'un instant éphémère

oh! mon amour , l'innocence est elle encore au goût du jour !

oh! de ce jour, l'innocence appartient elle à l'amour, gardons le même itinénaire

A travers le micro, juste une ressemblance, il me reste des mots ,et mon coeur se balance

A travers le chanteur, l'apparence,au fond de son coeur, et juste une révèrance

l'écriture des mots que j'ai écrit, l'innocences est un mot qui en fait parti

innocence, c'est la fin de mes vers

  ( déposé à la sacem)

Mardi 4 septembre 2007 à 15:34

l'instant du plus long parcours (1992)

les étoiles tombent du ciel , il parait qu'une lune s'éclipse avec le soleil

enfermés dans le noir , nous observons , ce soir

la conscience est un fléau, l'ambition ronge les héros

est il dur d'atteindre vite, le top niveau , la réussite

et la gloire en un instant ,s'oubliera vite dans le temps

mais je rêve , loin d'une nuit , où se cache derrière ses yeux

la réponse du temps qui fuit , qui au jour , m'échappe peu à peu

les amis se font ils rares ,  partent ils tous tôt ou tard

ceux qui restent pour la vie, combien sont il, à ton avis !

comme le vent , ils se déplacent , dans la vie garde leur une place

réserve leur un soir , afin de les revoir

et le temps n'est pas gloire , il est pour chacun une histoire

mais je rêve loin de ce monde , où se cache derrière ses yeux

l'arrêt en quelques secondes , du temps qui s'évade peu à peu

mais je rêve loin de la terre et durant des millenaires

oui je rêve et je coure, vers l'instant du plus long parcours

( déposé à la sacem)

Mardi 4 septembre 2007 à 15:20

çà ne vaut pas la peine (1992)

crier dans le micro, parler pour ne rien dire

mettre à la suite des mots , prendre sa plume et les écrire

errer dans l'ignorance, oublier le désir, errer sans réistance, devoir partir

partir sans rien laisser , s'en aller sans un mot, n'attendre qu'un baiser , s'en aller bien trop tôt

ancrer un sentiment, au fond de sa mémoire,et puis laisser le temps reconstruire notre histoire

mais si çà ne vaut pas la peine que je rentre ce soir

si çà te poses bien des problèmes ,ne poursuivons pas notre histoire

mais si çà ne vaut pas la peine que je reste plus longtemps

si çà te poses bien des problèmes , je m'en vais maintenant

si au contraire, tu désires que je reste, à toi de faire le dernier geste

sans résistance , vouloir rester,dans l'évidence de prolonger , le temps d'un long baiser

s'en aller sans un mot ne serait qu'une erreur,s'en aller bien trop tôt , rester encore une heure

 ( déposé à la sacem)

 

Mardi 4 septembre 2007 à 15:08

                                la rivière (1991)                                                        

au fond de l'âme ,d'étranges pensées   quand dans le calme le plus secret ,

s'aventure le cavalier au coeur de la rivière sacrée

au fond de l'âme , d'étranges soupirs au coeur des plus discrets désirs

quand s'aventure le cavalier vers le chemin de la rivière sacrée

au fond de l'âme , d'étranges signes, des plus sensuels et des plus dignes

quand s'aventure le cavalier au coeur de la rivière sacrée

au fond de l'âme , d'étranges vertues s'aventure en secret ,dans le charme perdu de la rivière sacrée

au fond de l'âme, d'étranges regards ,des plus pensifs et des plus rares

au fond de l'âme, d'étranges passions, autour du charme des saisons

au coeur de la rivière sacrée, s'aventure le cavalier

  ( déposé à la sacem)

 

 

Mardi 4 septembre 2007 à 14:52

                                                                    matin de brume (1991)

loin des chateaux d'Ecosse, aux rythmes des cornemuses

des légendes lointaines, des sons nouveaux qui fusent

sous un rythme binaire qui hante la poésie

il est une histoire emportée par la mer en furie

il est un homme oublié dont l'ombre ressurgit

matin de brume , sous un fond de brouillard

marins et l'écume s'en vont dirigés par les phares

soleil levant , voile à tribord , égayent le temps des remords

loin des terres défrichées à l'horizon, des mythes anciens dépassés par le temps

Lann Bihoué s'éteint , les pilotes s'en vont

tandis qu'un vieux loup de mer , ancien pilote de Lann Bihoué

emporté par le souffle de la mer , revient pour se venger

il reste de cette légende , une ombre du passé qui hante les souvenirs des rescapés

   (déposé à la sacem)

 

Dimanche 2 septembre 2007 à 21:18

                                nuits douces (1991)

 

A l'heure de nos adieux /  l'instant des peines

et le regard des yeux qui fuient l Eden

et au fil de l'histoire / autour de ces regards

une page est tournée / des nuits douces oubliées

loin de ces nuits folles , de ces nuits colorées

l'amour s'envole vers l'air de liberté

loin de ces nuits claires , de ces nuits frissonantes

loin de ces nuits éclairs qui deviennent dépendantes

rien ne repousse le souvenir , des belles nuits douces , des belles nuits vives

rien ne repousse le souvenir , de cet instant serein , de cet aveu certain

et au fil de l'histoire , une page est tournée

l'adieu ou l'au revoir , reste l'heure du passé

puis au fil des jours,  s' éloigne  ou vient l'amour

car certains se déchirent et d'autres fondent le bel avenir

     (déposé à la sacem)

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