Mercredi 5 septembre 2007 à 15:43

les yeux vers la plage (1994)

toi qui rêves , petit môme

de sa peau plus douce que celle d'un tambour

toute la journée , tu chômes, en pensant découvrir sa tour,

son dôme ,ses remparts ,où l'homme s'égare

toi , tu rêves  petit môme, de ses jambes fines et belles

mais tu n'es pas cet homme, qui marche là ,auprès d'elle

et les yeux vers la plage , tu rêve encore

de ces filles qui nagent , loin du port

toi tu rêves  peitt môme, de quitter cet enfant

pour devenir un homme, être parmis les grands

et les yeux vers la plages, les années passent

les yeux remplis d'images, le sable qui laisse des traces

tu ne rêves pas, il croque une pomme

un ptit sourire sympa ,qui voit en toi un homme

et les yeux vers la plage, le temps s'écoule

tes yeux ont des voyages , des visages dans la foule

tu ne rêves pas, tu vois un môme

qui regarde devant toi,  en rêvant d'être un homme

et devenir comme toi ,grandir au maimum

  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 5 septembre 2007 à 15:33

ce n'est pas normal (1993)

çà devait arriver , peut être un jour

une nuit pour filer, en douce à son tour

çà devait se produire, car le temps passe

penser à se détruire, voir sa vie qui se lasse

n'y croire jamais , ne pas oser

ton coeur est lourd , oh! toi poéte

tes yeux sont sourds, tu traines la tête,

tu te fais mal ! ce n'est pas normal

même s'il faut partir, sentimentalement ressentir

l'envie de rester encore et d'éviter la mort

çà devait avoir lieu, un jour inatendu

ne rien prendr' au serieux, trop tard et le temps tue

serrons nos coeurs, ne pleurons pas

nos frères , nos soeurs, amis sont là

ce n'est pas normal, ceux qui restent ont mal

car tu es parti loin, sans nous dire au revoir

laissant un mot écrit de tes mains, que nous trouvons trop tard

çà devait être fait, c'est surement mieux comme çà

nos mots n'auraent rien changé , tu avais dèja fais ton choix

serrons nos coeurs , ne pleurons pas

nos frères , nos soeurs ,amis sont là

serrons nos mains , fermons  nos yeux

toi qui es loin , restons heureux

  ( déposé à la sacem)

 

 

Mercredi 5 septembre 2007 à 15:22

fermer les persiennes (1993)

diplomate ,le costume cravate

le soir , il traine dans les soirées mondaines

elle n'avait pas vingt ans, un vieux jean délavé

elle prenait des calmants, des somnifères, sans arrêt

un soir d'hiver, leurs regards se croisent

sans en avoir l'air , juste pour une phrase

elle deviendra sa reine et il sera son roi

même si leur couple gène , bien plus qu'un autre toit

ils ont fermés les persiennes , un soir d'hiver

pour une soirée calm' et sereine, jean et cravates  divers

mais  leurs histoire d'amour, n'a pas durée plus de huit jours

du matin au soir , l'attendant tous les jours

entre drogues et cigares, elle quitta la lumière du jour

et il a fermé les persiennes, diplomate en peine

le regret des parents, pour des paroles dites un soir

à leurs fille , leur enfant, perdue , sans regard

elle n'avait pas viingt ans, elle est partie une nuit

en quittant ses parents, pour aller faire sa vie

aujourd'hui , oublier et fermer les persiennes

un vieux jean délavé, eb mémoire qui traine

un sourire fatigué, un roi , une reine

aujourd'hui oubliés, pour bien d'autres problèmes

  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 5 septembre 2007 à 15:10

un personnage illustre (1993)

perdu depuis des lustres, perdu depuis longtemps

un personnage illustre et son piano savant

parcourent la mer , sans fin

et le piano , sous l'eau qui attirent les poissons

cherch'un trésor de mots avec son compagnon

et le piano , sous l'eau à l'allure aquatique

leur fait son numéro, dans l'espace scénique

et le piano, sous l'eau, a des poissons comme public

ils écoutent cet air nouveau, ces notes accrobatiques

et le piano , sous l'eau projette un air divin

chaque son est cadeau, dans l'univers marin

  (déposé à la sacem)

 

Mercredi 5 septembre 2007 à 15:04

dormir (1993)

tu es sur la falaise, là au bord du ravin

où tu t'y sens à l'aise et y saute à pieds joints

tu es la dans le vide, tu tombes à la renverse

tu es ton propre guide, ta vitesse progresse

sur l'eau , un bout de bois emporte un rêve sauvage

dans l'eau , il flottera sur le lit d'un nuage

une avalanche de rêves est tombée

dans le sommeil de tes pensées

oh! dormir , dormir dehors, oh dormir , dormir encore

un bout de bois qui grince, emporte un rêve sur l'eau

un bout de nuit qui coince, dans le port , un bateau

un bout de jour qui passe ,emporte un rêve sans trace

sur l'eau , un rêve qui part, le jour avance , il se fait tard

une avalanche de rêve est tombée

dans le sommeil de tes pensées

oh dormir dehors, oh dormir , rêver encore

oh dormir , tout près du port

  ( déposé à la sacem)

 

 

Mercredi 5 septembre 2007 à 14:56

vers quel matin (1993)

vers quel matin , les mots indiquent,vers quel matin , va la musique

vers quel chemin ,les mots te disent,vers quel matin , il te conduisent

vers quel chemin , perdre sa peur,vers quel matin , et à quelle heure

vers quel chemin , perdre son temps,vers quel matin , attendre le vent

vers des silences, prendre un bonheur,où va la chance, où va ton coeur

vers des prairies, à travers champs,où va ta vie , où part le temps

vers un ciel bleu , vers quel matin,iront tes yeux , iront tes mains

vers un ciel clair , vers quel matin, tourne la terre, tournent tes mains

vers des matins poémes, vers des chemins bohèmes

 ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 5 septembre 2007 à 14:49

chanson leader (1993)

j'ai une chanson leader, cachée au fond du coeur

vers des rêves extèrieurs, sous le parfum d'une fleur

j'ai une chanson fidèle, aux couleurs arc en ciel

j'ai des idées nouvelles, sous la coupe du ciel

j'ai une chanson leader, qui reste et qui demeure

vers des voix extèrieures ,sous l'ensemble d'un choeur

   ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 5 septembre 2007 à 14:44

d'hier dans le jardin (1993)

d'hier dans le jardin ,douce nature fut elle

d'hier trace son chemin ,puis s'en va l'hirondelle

d'hier passa l'automne , le vent souffla l'hiver .Adieu saison monotone

voilà dans le jardin, la belle saison venue

l'hirondelle en chemin , fredonne un air connu

il marche dans la rue, et longe le grand chemin

bientôt sur l'avenue, il est loin du jardin

il marche dans la ville, prolonge son chemin

atteignant la presqu'ile, pour cueillir du jasmin

il marche autour de l'eau . dans le ciel l'hirondelle

le vol de cet oiseau, autour d'une citadelle

quand il repartira, l'oiseau viendra aussi

il l'apprivoisera,  ils deviendront amis

et de cette fabuleuse histoie,d'hier dans ce jardin

il reste des quatrainbs en mémoire qui, les conteront demain !

  (déposé à la sacem)

Mercredi 5 septembre 2007 à 14:35

sous l'ombre de l'amour (1993)

si tes larmes coulent le bonheur, si tu désires partager l'amour

si je suis présent dans ton coeur, pour un éternel séjour

alors laisse moi te retenir, sans attendre plus longtemps

nous partagerons l'avenir , d'un bonheur des plus grands

si de tes yeux coule la joie, si tu m'acceptes comme tu me vois

saches que mon amour , cet aveu, sont des plus sérieux

et puis laisse moi te dire, sans perdre un seul instant

que j'aimerai te retenir , te garder pour longtemps

sous l'ombre de l'amour ,tu es le rayon de soleil

le calin de velour qui 'éveille

sous l'ombre de l'amour , te garder pour toujours

 ( déposé à la sacem)

 

 

 

Mercredi 5 septembre 2007 à 14:27

loin (1993)

quand la marée des grands vents, nous apportera, l'espoir

alors , il sera grand temps, de vous dire au revoir

quand viendra , le matin, c'est au soleil levant

que nombreux seront loin, tous, sur des continants

quand viendra , le retour, nous retrouverons nos rues

nos villages dortoirs, d'où nous sommes issus

c'est au soleil couchant, que tous, nous rejoindrons

puis au soleil levant, certains nous saluerons

  ( déposé à la sacem)

 

<< Page précédente | 173 | 174 | 175 | 176 | 177 | 178 | 179 | 180 | 181 | 182 | Page suivante >>

Créer un podcast