Mardi 4 septembre 2007 à 14:52

                                                                    matin de brume (1991)

loin des chateaux d'Ecosse, aux rythmes des cornemuses

des légendes lointaines, des sons nouveaux qui fusent

sous un rythme binaire qui hante la poésie

il est une histoire emportée par la mer en furie

il est un homme oublié dont l'ombre ressurgit

matin de brume , sous un fond de brouillard

marins et l'écume s'en vont dirigés par les phares

soleil levant , voile à tribord , égayent le temps des remords

loin des terres défrichées à l'horizon, des mythes anciens dépassés par le temps

Lann Bihoué s'éteint , les pilotes s'en vont

tandis qu'un vieux loup de mer , ancien pilote de Lann Bihoué

emporté par le souffle de la mer , revient pour se venger

il reste de cette légende , une ombre du passé qui hante les souvenirs des rescapés

   (déposé à la sacem)

 

Dimanche 2 septembre 2007 à 21:18

                                nuits douces (1991)

 

A l'heure de nos adieux /  l'instant des peines

et le regard des yeux qui fuient l Eden

et au fil de l'histoire / autour de ces regards

une page est tournée / des nuits douces oubliées

loin de ces nuits folles , de ces nuits colorées

l'amour s'envole vers l'air de liberté

loin de ces nuits claires , de ces nuits frissonantes

loin de ces nuits éclairs qui deviennent dépendantes

rien ne repousse le souvenir , des belles nuits douces , des belles nuits vives

rien ne repousse le souvenir , de cet instant serein , de cet aveu certain

et au fil de l'histoire , une page est tournée

l'adieu ou l'au revoir , reste l'heure du passé

puis au fil des jours,  s' éloigne  ou vient l'amour

car certains se déchirent et d'autres fondent le bel avenir

     (déposé à la sacem)

Dimanche 2 septembre 2007 à 21:04

                                        autour de toi  (1991)

 

coeur bléssé par des paroles inutiles  ,renversé , isolé comme une ile

qui tourne autour de tout , qui tourne autour de toi

coeur brisé par l'entourage futile , éloigné , qui marche dans la ville

qui tourne autour de tout , qui tourne autour de toi

personne nait invincible et loin de l'ignorance

chacun peut devenir la cible et en perdre confiance

coeur aimé au travers d'une fille qui n'attache pas d'importance

au futil' et aux differences . qui tourne autour de toi

coeur aimé au travers d'une fille passionnée , ouverte comme utile

qui tourne autour de toi

coeur aimé , aux profondes  confidences /, libèré de toute souffrance

qui tourne autour de tout , qui tourne autour d'elle

coeur aimé, au galop, tu t'élances / libr' est ta conscience

vivant loin des futilités , ne fuyant plus les réalités

                         (déposé à la sacem)

 

 

Dimanche 2 septembre 2007 à 17:45

                                océan (1991)

loin des regards fugueurs à l'horizon, bercées de vagues et d'émotions

s'éloignent les terres pour l'océan, qui au large s'en vont au vent

loin des tempêtes , calme profond, s'éloigne l'air d'une sérénade

qui dans la nuit , au fond, berce les vagues de ballades

loin des regards fugueurs à l'horizon, l'aube vient de faire son apparition

au matin d'une tendre journée,s'éloigne l'océan, laissant les terres emergées

océan d'une nuit , océan d'un jour, c'est un rêve qui s'enfuit, bercé d'amour

                       ( déposé à la sacem)

Dimanche 2 septembre 2007 à 17:37

                         l'écumeur (1991)

la nuit au profond de ses yeux, je suis l'écumeur de ses rêves

qui saisi par un tendre aveu, attend que le jour se lève

attendri d'un sourire charmeur, berçé de tendres caresses

s'écoulent ensemble les heures, étendues par nos promesses

loin des dépendances de la mer, des inquiétudes du marin

je suis lécumeur solitaire, retenu par sa main

loin de l'insignifiance, soupirant d'une dame, un jour

écumeur en confiance j'ai vécu de haines et d'amours

  (déposé à la sacem)

 

 

Dimanche 2 septembre 2007 à 17:31

                          ils dansent autour (1991)

oh! tu fermes tes paupières, viens avec moi

je t'emmène dans mon rêve, dans un rêve pas très clairs ,

 où ils dansent autour du feux et où tu ne peux te passer de moi

mais au fond tout çà n'existe pas

à la fin de mon sommeil , tu t'en iras et à l'heure de mon réveil le feu s'éteindra ,

sans explication ; et puis je t'aimais au fond de ce rêve qui t'a emporté

loin de moi , loin d'une nuit , loin de toi , loin de la vie

tu fermes tes yeux clairs, viens avec moi

dans ce rêv' imaginaire où ils dansent autour du feux

                          ( déposé à la sacem)

 

 

 

Dimanche 2 septembre 2007 à 17:23

                        te perdre encore (1991)

                             te perdre par des mots dérisoires, te perdre encore dans ma mémoire

                                cet avenir sans espérance, que je voyais venir en ta présence

              te perdre quand le feu et les cendres s'éteignent , te perdre encore , quand je dédaigne

                                oublier ta voix qui m'entraine .  oh! te perdre dans ce rêve , dans tes bras

            te perdre encore oh! Maria   et si tu pars , loin dans l'au delà te perdre encore oh! Maria

 ( déposé à la sacem)

 

 

Dimanche 2 septembre 2007 à 17:18

                           Chinatown (1990)

dans les rues de San Francisco , des voitures et des numéros

dans les rues de San Francisco , ne joues pas les héros

Grant avenue , la rue principale , Chinatown un lieu à scandales

ville de Californie sur la côte pacifique , San Francisco , traffics et paniques

dès l'aube dans le brouillard , le sang ne coule pas par hasard

de nouveau des mains sales , pas loin de la rue principale

cocaine, dans les blanchisseries, l'héroine s'écoule dans la nuit

la police est manipulée, l'exotisme d'avant n'est plus ce qu'il a été

dans le fin fond d'une impasse, un coup de feu , les gens passent

le monde s'enfonce et se dégrade , c'est la dégringolade

Chinatown où ailleurs , demain sera t'il meilleur !

                                           ( déposé à la sacem)

 

Dimanche 2 septembre 2007 à 17:10

                               il y'avait (1990)

oh ! les dimanches de nos vacances, des promenades au bord du lac

où nous marchions main dans la main .

oh! les dimanches sur la colline, à écouter les rires des filles ,çà reste en nous comme un refrain

oh! la haut sur la colline, il y'avaient de jolies filles qui dansaient pour se faire remarquer

oh! la haut sur la colline,il y'avait une vielle mine où allaient se retrouver, filles et garçons pour danser

oh! ces week end de notre enfance, des jeux d'amour et de confiance elles s'en rappellent

,les demoiselles .  oh! ces week end sur la colline à contempler les jolies filles, sous le bel été de soleil

oh ! de toutes ces journées,  il nous reste un parfum d'été et puis aussi un feu de bois

oh! ces journées de nos vacances, inoubliables espèrances, il reste en nous ces moments là

oh! la haut sur la colline , il y'avait un souvenir  qui allait nous enchanter pour l'avenir

oh! ces dimanches au bord du lac, nous emmenions tous notre sac

pour des déjeuners gais et ensoleillés . oh! ces dimanches il y'avait des jeux d'amour

qui se croisaient et puis aussi de folles nuits

   ( déposé à la sacem)

 

 

Dimanche 2 septembre 2007 à 16:56

                                  y'en a qui (1990)

y'en qui se battent pour un bout de terre , pendant que d'autres jouent à la guerre

y'en a qui regardent à la télévision,  un navet en rediffusion

y'en a qui par leurs fenêtres fermées regardent dehors la pluie tombée

et toi dans tout çà , tout ces hommes tu ne comprends pas , mille voix qui résonnent

tu joues du piano ou tu aimes écrire  pendant que des hommes dorment , se disputent

tu écoutes, chantes et t'occupes en laissant trainer un accord, un mot d'amour qui vaut de l'or

     ( déposé à la sacem)

 

 

 

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