Lundi 26 novembre 2007 à 10:18

le tréffle du bonheur  (2004)

dans un jardin , en saison automnale

je vois soudain , le petit tréffle idéal

de mes mains je le cueille

ce tréffle du bonheur , ce tréffle à quatre feuilles,

cette belle plante herbacée, que je vais conserver

  (déposé à la sacem)

 

Par darkshines le Lundi 26 novembre 2007 à 17:56
Bonjour poète de la vie... Je vois que tu as supprimé mon commentaire de la dernière fois, et que tu n'acceptes donc aucune critique... est ce digne d'un artiste ?...
Et au risque de me faire supprimer ce nouveau commentaire, je compte bien réitérer mes remarques quant à cette façon que tu as de remplacer certaines lettres par une apostrophe, chose qui n'existe pas, ni en prose (à part dans les chansons par exemple pour souligner au déchiffrage une façon particulière de prononcer), et encore moins en poésie. Sache que je dis cela pour toi, car tes poèmes ne sont pas désagréables, mais comme je le disais la dernière fois ils perdent tout sens et toute crédibilité lorsque l'on ne trouve pas les "e" muets par exemple (qui je le rappelle sont effectivement absents de la prononciation et du comptage syllabique, mais en revanche tout à fait présents à l'écrit), ce qui ne constitue absolument pas un style poétique particulier, comme tu le crois peut être, mais une importante erreur...
Pourquoi par exemple dans la phrase "cett' bell' plant' herbacée" as tu supprimé tous les "e" ?... En effet le "e" de fin de mot ou de syllabe, quand il précède une voyelle, est appelé "e" muet ou encore rime féminine et ne constitue pas une syllabe, donc il ne compte pas, je crois que tu le sais. Mais le supprimer est tout simplement une faute de langage, et d'ailleurs dans cette phrase le "e" n'est absolument pas muet car il est suivi d'une consonne, et doit donc être prononcé et même accentué! Mais je crois que si tu les supprimes c'est simplement pour retrouver au final le bon nombre de syllabes (6 dans les deux premiers vers, 10 dans les seconds et enfin deux alexandrins)... Mais cela ne compte pas puisque tout repose sur une erreur... Le travail du poète est en effet de construire sa poésie en fonction de la difficulté du langage, et non en l'éradiquant, comme remplacer ce qui nous gêne par une apostrophe ou un signe quelconque !
Bonne continuation
 

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