Mercredi 10 octobre 2007 à 20:32

tu ne sais pas où  (2002)

t'as errer dans la nuit, loin des sables mouvants, sur des plages infinies

t'as connu le froid, le vent qui saoule

de beaux endroits, isolés dans la foule

t'as eu le soleil brulant sur ta peau écrevisse

t'as pris le dessus, la face sur le dessous

t'as marché sur divers sols, des mous , des durs, des bizzares et des droles

t'as eu des rêves dissous en un clin d'oeil

des envies qui échouent et t'en as fais le deuil

t'as connu des victoires, des sourires partagés

t'as eu en mémoire, du plaisir et des regrets

t'as croisé des gens, des gens d'un pas préssé

qui courent tout le temps

de leur va et vient , sans fin, un jour ils vont tomber

mais tu ne sais pas où

 ( déposé à la sacem)

Mercredi 10 octobre 2007 à 12:07

d'un camps à l'autre (2002)

loin d'un violent vacarme, un champ de bataille silencieux

avec des corps sans charme, sans le temps d'un adieu

après le temps des larmes,des veuves venues pleurer

les vivants , les désarment et vont les enterrer

oh! tristesse de la guerre

au nom d'un dieu, pour un bout de terre

quelque soit son camp, sa fontière

elles pleurent un mari ou un père

  ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 10 octobre 2007 à 12:00

le petit commercant (2002)

le village vient d'apprendre, d'apprendre ce matin , la triste nouvelle

oh! dorénavant , il n'y aura plus, plus rien à vendre 

 au trente et un d'la rue des hirondelles

le petit commercant , depuis hier s'est tu

personne  ne va reprendre, reprendre le magasin, fermeture éternelle

adieu commerce d'antan, silenc'au trente et un d'la rue

   ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 10 octobre 2007 à 11:51

Est ce (2001)

pouvons nous revenir, du pays des mystères

du néant ressortir, retrouver la lumière

est ce le fou du roi qui est le pion manquant

est ce la pièce en bois, recouverte d'argent

où s'en va cette rue, va t'elle , vers nulle part

est elle sans issue, l'éternel couloir

est ce la marionnette, le pantin accroché

qui mène la baguette, est ce le rôle  inversé

qui manqu'ra à l' appel, le fou ou le pantin

quelles seront les nouvelles , les fraiches du matin

le monde tourne mal, incendie s ravageurs,

c'est la tour infernal, mais qui sème la peur

pouvons nous espèrer , sortir de ce pays

un mystère éclairé, finit la rêverie

au revoir , fou du roi, marionnette évadée

au revoir , pièce en bois, toute une nuit à rêver

 ( déposé à la sacem)

 

Mercredi 10 octobre 2007 à 11:43

le temps et la force  (2001)

tu prendras le temps et la force,  pour trouver ton chemin

comm' l'arbre a son écorce,,t'auras ton bouclier humain

non pas, pour t'isoler des gens , mais pour t'en protèger parfois

de ceux ,l'air menacant et des autres mèfies toi

tu auras la vie pour apprendre, le savoir du bonheur

tu vivras le temps , pour comprendre, ton chemin intèrieur

tu seras ton propre guide, tu seras ton seul maitre

de la naissance aux rides, t'apprendras à connaitre

le monde qui t'entoure, cette vie quotidienne

ce temps qui fuit, qui coure, le tout de la vie humaine

 (déposé à la sacem)

 

 

Mardi 9 octobre 2007 à 10:43

tu ne sais rien de ma mémoire (2001)

t'as pas envie de rester là, de rester là et ne rien faire

t'as l'envie d'avancer tout droit, tu ne cherches pas à te taire

et tu voudrais que je sois là, afin de percer le mystère

celui qui est de toi à moi, celui d'un' amitiè sincère

celui d'hier ou d'autrefois, celui qui serait à refaire

celui qui nous unis parfois, celui qui déchaine des colères

t'as l'envie de bouger d'ici, afin de trouver des repères

de nous conduire loin de cette vie, qui nous laiss' un p'tit gout amer

et si d'un jour se lève l'ècran et que finisse enfin le film

qui te conduit , loin des tourments, vers les pensées les plus intimes

la vie aura un autre sens, la vie , ell' sera autrement

tu comprendra les differences, qui uniront nos sentiments

tu ne sais rien de ma mémoire, de ce tout que tu ne vois pas

connais tu vraiment mon histoire, c'est pas l'écran d'un cinéma

c'est un face à face réel, un tête à tête, rien qu'avec toi

loin de cette image virtuelle où je n'aurai rien de ta voix

et la vie , elle est belle , ce jour, plongé dans l'écran de tes yeux

chaque minute se savoure, dans notre regard amoureux

 ( déposé à la sacem)

 

Mardi 9 octobre 2007 à 10:32

sur le quai d'une gare (2001)

sur le quai d'une gare, y'a un sourire blafard

y'a un triste regard, l'ame en peine, plein cafard

sur le quai d'une gare, c'est la fin d'un' histoire

d'une rencontre au hasard, d'un matin ou d'un soir

comme celles qui tôt ou tard, finissent toutes au placard

direction nulle part , pour l'adieu, l'au revoir

pour essuyer une larme qui part

et d'un coup de sifflet, le train démarre

il s'en va, sans rien savoir, de la fin d'une histoire

  (déposé à la sacem)

 

Mardi 9 octobre 2007 à 10:18

mondiale socièté (2001)

répandre des rumeurs, les crier sous les toits

avec violence et heurt , aller savoir pourquoi

répondre à des questions, sans réfléchir avant

pour un oui dire un non, rejouer à l'enfant

cacher sous un masque, une autre allure que soi

un visage flasque, en jouant les gros bras

vider toute sa rage, à la force de ses poings

finir sa vie en cage pour avoir tuer quelqu'un

au milieu de nulle part, sans boussole ni repaire

errer comme un lézard et finir au cimetière

être le fils à papa et reprendre l'usine

l'avenir sans tracas, loin des autres et la ruine

devenir un héro, le fusil à la main

faire un geste de trop, et bascule le destin

être une langue de vipère et des yeux de voyeur

avoir l'air d'avoir l'air, jouer les faux semblants

avoir le premier rôle, sans jouer les acteurs

sortir des grandes ecoles , faire parti des plus grands

dans cette mondiale socièté, à chacun son parcours

son demain, son passé et son prèsent d'amour

  (déposé à la sacem)

 

 

Mardi 9 octobre 2007 à 10:03

c'est le chant des grillons  (2001)

A la fraicheur du soir , quand rougit le soleil, commence le concert

avant qu'il ne fasse noir, sous les couleurs du ciel

en direct, au grand air , c'est le chant des grillons

alors viens je t'emmenes, l'écouter dans les plaines

en cette fin de jour, les grillons , nous chanterons l'amour

( déposé à la sacem)

 

Mardi 9 octobre 2007 à 9:59

le vieux rafiot  (2001)

elle est loin l'époque des sirènes

ta vie de matelot et cell' de capitaine

il est fatigué ton vieux bateau, il a vécu ton vieux rafiot

aujourd'hui, tu erres dans les ports, tu vois les jeunes marins,

en quête de sirènes , de trésors,  et tu passes ton chemin

tu vas au bar des anciens, qui chantent les chansons de la mer

ton vieux rafiot est loin , il repose au cimetière

tu chantes , le verre à la main, ton passé rejaillit , soudain

entre nostalgie et refrains, d'hier tu te souviens

  (déposé à la sacem)

 

 

<< Page précédente | 142 | 143 | 144 | 145 | 146 | 147 | 148 | 149 | 150 | 151 | Page suivante >>

Créer un podcast