Dimanche 14 octobre 2007 à 11:00

au bord du long canal  (2003)

dès les premières fraicheurs, d'une brume matinale

il y'a des pècheurs, au bord du long canal

quand le  poisson va mordre, pas loin sera la prise

la canne va se tordre , la péche s'ra t'elle exquise !

dans ce brumeux matin, au bord du long canal

des péniches sont pas loin, d'emprunter le chenal

ell' reprendront la route, la belle route fluviale

sous un soleil , mois d'aout, d'un été idéal

bredouille ou avec de nombreux poissons

les pécheurs regagnent leurs habitations

la matinée touche à sa fin

et les écluses referment mes quatrains

  (déposé à la sacem)

 

Dimanche 14 octobre 2007 à 10:54

la fermeture de l'usine  (2003)

c'est un village en peine, son usine a fermé

confection à l'ancienne, laisse place au progré

de la fermeture de l'usine,  y'a un village en ruine, qui laisse un vide aux alentours

et mes vers en auront parlé, de ce triste progré

qui laisse un vide autour, autour d'un long silence

dans ce village en France

 ( déposé à la sacem)

 

 

Samedi 13 octobre 2007 à 15:54

la vieille voie ferrée  (2003)

c'est une vieille voie ferrée, qui ne voit plus de train

autrefois empruntée, ce temps là est bien loin

ses rails traversent la forêt , ils ont l'usure du temps

aujourd'hui , on y va à pieds, adieu fumée d'antan

les wagons, la loco sont dans un triste état

c'est l 'éternel repos , pour cette vieille voie

  ( déposé à la sacem)

 

 

Samedi 13 octobre 2007 à 15:46

du bois à la rivière  (2003)

vous êtes partis pour le bois  et vous voici à son orée

le grand méchant loup n'est pas là

alors sans crainte, vous y entrez

et vous êtes sortis du bois en direction de la rivière

elle qui vous tend, l'eau de son bras

vos pieds baignent dans son corps clair

vous étiez partis pour le bois, vous aviez atteint la rivière

le grand méchant loup n'est pas là  et ici je termine , mes vers

  (déposé à la sacem)

 

Samedi 13 octobre 2007 à 15:40

imagination débordante  (2003)

imagination débordante, quand d'un jour à l'autre il invente

poéme après poémes,  beaucoup de rimes il sème

quand l'encre coule sur le papier,  c'est un nouveau poéme qu'est né

 ( déposé à la sacem)

 

Samedi 13 octobre 2007 à 15:36

c'est un petit garçon  (2003)

c'est un petit garçon

il joue au bilboquet, il joue aussi aux billes

il donne des sobriquets, des tas d'surnoms aux filles

c'est un petit garçon

ses parents sont pas loin, sont assis sur un banc

ils surveillent leur gamin , un coup doeil ,de temps en temps

c'est un petit garçon

il joue seul, comme les grands, dans un jardin public

pas loin de ses parents

c'est un petit garçon qui vit les rimes de ma poésie

  (déposé à la sacem)

 

Samedi 13 octobre 2007 à 15:30

un jour, son coeur  (2003)

c'est un homme amoureux d' la vie, libre  et jamais otage de lui

ni de personne qui l'entoure

un jour , son coeur a pris racine

auprès de la gent feminine

un jour , son coeur, a fait son nid

auprès d'une femme pour la vie

  ( déposé à la sacem)

 

 

Samedi 13 octobre 2007 à 15:24

le tour des saisons  (2003)

c'est à l'automne , que le temps gris revient

et les feuilles recouvrent nos chemins

c'est en hiver, que le froid sec s'invite et que les flocons de neige s'agite

c'est au printemps, que repousse la verdure

et que campagne et ville font belles figures

c'est en été , les plages ensoleillées  et l'jour qui tarde à aller se coucher

oh! j'ai fait le tour des saisons, avec l'encre de mon stylo

oh! j'ai fait le tour des saisons, et ma plume se met au repos

  (déposé àla sacem)

 

Samedi 13 octobre 2007 à 15:15

la triste mine d'un sable  (2003)

c'est une marée noire , qui menace

sa pollution , nous laisse des traces

quand elle vient s'échouer, sur nos plages

et nous noircir , nos beaux paysages

entre souillures tenaces et rejets de la mer

s'accumule une crasse nocive pour la terre

et c'est la triste mine d'un sable fin, qui a du accueillir contre son grè

l'arrivée d'un sale mazout importun

 (déposé à la sacem)

 

Samedi 13 octobre 2007 à 11:56

l'éponge et l'évier (2003)

dans le vide, s'élance et plonge,  le corps raide d'un 'éponge

dans l' eau tiède d'un évier,    la voilà, le corps mouiillé

et des bulles de savon, en nombre arrivent sur elle

des bulles au parfum citron   qui lui chatouille le corps

loin d'un eau tiède et limpide   et loin de son corps humide

l'éponge est en train de sècher, sur le bord de l'évier

  ( déposé à la sacem)

 

 

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