Vendredi 23 novembre 2007 à 9:42

A la source naturelle  (2004)

oh! source naturelle, contempler devant toi

ton eau pure et si belle , si fraiche quand on la boit

et s'évader dans l'horizon , d'un décor montagneux

retrouver l'evasion , au travers de tes yeux

voir à perte de vue , près du ruissellement

de toi , belle inconnue qui s'écoule calmement

c'est dans un paisible silence , que ton eau pure et claire danse

oh! belle source qui jaillit , en cette montagne ou tu vis

  (déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:38

déchirement amoureux  (2004)

enterrer un amour , bien vivant en son coeur

en gardant du passé , les instants du meilleurs

regarder en arrière , sans la haine profonde

enterrer d'un hier , un orage qui gronde

fuir la tempète  intèrieure  qui détruit , qui déchire

accepter sa douleur , pardonner et grandir

et tracer vers demain sans que ce soit facile

un horizon lointain , libre et des moins fragiles

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 21:20

de rimes en rimes troubadours  (2004)

de nouvelles rimes accourent dans l'estival été

des rimes troubadours aux parfums libèrés

le poème suit sa route jusqu'à la dernière goutte de l'encre du stylo

rimes après rimes s'écrivent,  au bonheur des deux rives d'un bien joli ruisseau

dans la verdure fleurie , un doux printemps s'endort

la nature est en vie , quand vient l'été décor

où des rimes ruissellent , s'écoulent au bord de l'eau

que la nature est belle , loin de son blanc manteau

(déposé à la sacem)

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 10:24

                                        rimes nomades  (2004)

rimes en errance , vers d'infinies distances

rimes qui voyagent , vers de nombreux paysages

rimes vagabondes , dans le poétique monde

rimes nomades , vers diverses promenades

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 10:22

l'inerte décor d'une guerre  (2004)

étourdissantes  images , d'un trop vrai reportage

dans les bras de la mort , c'est l'inerte décor

oh! soldat oh G.I , la vie t'a fausser compagnie

adieu l'orientale pagaille , ton corps retourne dans ton pays

oh ! atmosphère morbide , quand le destin décide , face aux chars militaires

orphelins de la guerre , le fusil à la main , quel futur ! vers demain !

et il y'a la mort qui se gausse du pèril des civils

y'a le pétrole à la hausse , derrière l'écran , des images défilent

étourdissantes images , d'un trop vrai reportage

  (déposé à la sacem)

 

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 9:27

le soldat et le poète  (2004)

dans un lit d'herbes folles , ce poème m'est venu

loin du fusil à l'épaule , du soldat inconnu 

du soldat , oh! triste rôle , dans sa guerre quotidienne

tandis que pour moi , la plume s'envole , vers des rimes sereines

dans un vent poétique , ell' disperse des mots

loin de l'état critique , d'un guerrier , non héro

qui deverse son sang , allongé dans un champ

et vient le silence inerte , je quitte ces folles herbes vertes

loin de la mort d'un soldat , tombait hier au combat

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 9:13

Viet-nam Saigon  (2004)

dans la jungle sans fin  , la machette à la main

avec la peur au ventre ils allèrent , dans le Viet-nam Saigon de l'enfer

armes blanches et longs fusils , un vétéran au sol qui git

dans la faune sauvage , oh ! quel triste carnage

et de nos jours , des guerres encore brisent l'amour , laissent des morts

la paix accoure , à court d' idée !! et à quel prix !

le sang versait qui la repousse vers demain

accords signés , poignées de mains , Saigon du passé

d'autres guerres sont vivantes , de leurs fins retardées

laissent  un nombre infini de victimes innocentes

 (déposé à la sacem)

 

Lundi 19 novembre 2007 à 10:22

espaces montagneux  (2004)

le temps d'un court repos , s'asseoir au bord de l'eau

et tremper ses pieds nus , dans le lit d'un p'tit ru

puis contempler , plus loin le vide vertigineux, poursuivre le chemin d'un sentier montagneux

atteindre avant la nuit , un refuge pour un soir

et quitter ce logis , quand le jour , vient nous voir

reprendre le sentier , descendre doucement mais avant l'arrivée d'un soleil trop pesant

 ( déposé à la sacem)

 

 

Lundi 19 novembre 2007 à 10:16

regard anormaux d'une sociétè terrienne (2004)

y'a des sourires qui dérangent dans notre sociétè terrienne

qui cherche la trop juste perfection , l'impeccable détail

naissances dites anormales , êtres humains classés fous que la vie est étrange parfois même inhumaine

y'a des visages qui changent dans notre sociétè terrienne

pourquoi vouloir paraitre d'un autre ge que le sien

vieillir n'est pas une étape humaine de la vie !!

où se cache les microbes dans notre sociétè terrienne, les bons , les mauvais

pourquoi vouloir tout immuniser , celà rend nos corps sans défense

à chacun son mode de vie , son état du bien être zen au trop speed et stressé

et demain dans l'assiette , des mixtures pas très nettes

recyclées on n'sait où , aux fades couleurs , au droles de gouts

faut bien lire étiquette de tout ce qu'on achète

à chacun son point de vue sur l'instant non prèsent,à chacun son regard à l'oeil nu

rebelle anormal ou stéréotypé sur le passé et le futur du temps

c'est souvent la jungle inhumaine , dans notre sociétè terrienne

où tant de vies évoluent , celles admises , celles exclues !!

 (déposé à la sacem)

 

Lundi 19 novembre 2007 à 10:01

tempête conjugale (2004)

prendre le large , mettre les voiles , loin d'une tempête conjugale

pour  peut être un meilleur demain , un retour au chemin commun

prendre la route solitaire , quitter le foyer de l'amour

et faire le bilan d'un hier , espèrant le même parcours

dans un proche avenir , un futur rayonnant 

  ( déposé à la sacem)

 

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