Samedi 24 novembre 2007 à 10:57

la vieille malle (2004)

la vieille malle , elle est bien fatiguée et commence à rouiller

la vieille malle , elle a bien voyagée , dans les années passées

mais aujourd'hui , elle ne part plus, morne est sa vie,  dans son corps reclus

c'est au fond d'un grenier qu'elle rouille doucement

la vielle malle oubliée qui jadis , fit son temps

 (déposé à la sacem)

 

 

 

Samedi 24 novembre 2007 à 10:53

au coeur du vide grenier  (2004)

çà brade ou marchande , fait l'affaire , faut que çà vende

çà regarde , se promène , trouve l'objet à l'ancienne

c'est la chance du hasard , l'occasion , la perle rare

çà chine ici ou là , dans un va et vient de promeneurs

chacun trouve sa part de bonheur , au coeur du vide grenier

 (déposé à la sacem)

 

Samedi 24 novembre 2007 à 10:45

le grand chemin des vers  (2004)

aller sur le grand chemin des vers , s'inspirer de la vie

la belle ou la moins belle, ecrire le jour , la nuit des rimes calmes ou rebelles

aller sur le grand chemin des vers , ecrire d'autour de soi

les tristes déchirures , de l'amour qui s'en va en laissant des blessures

aller sur le grand chemin des vers , s'inspirer de la vie

des rencontres du temps , avoir la poésie au profond de son sang

aller sur le grand chemin des vers , ecrire du quotidien

les souvenirs qui passent , du stylo à la main , les poétiques traces

aller sur le grand chemin des vers , ecrire du quotidien

la belle inspiration , des tercets , des quatrains et autres rimes qui vont

 (déposé à la sacem)

 

Samedi 24 novembre 2007 à 10:36

sourires feminins  (2004)

oh! sourires feminins qui envoutent le coeur des hommes

oh! sourires divins qui enivrent comme le rhum

des prénoms en mémoire , l'amour a son histoire

oh! parfums souriants qui embaument le coeur

oh! doux sourires troublants qui bercent de bonheur

et déjà va l'amour , d'un parfum oublié

d'autres senteurs accourent , d'un feminin baiser

des senteurs où la vie , roule sur des vers plaisants

des senteurs qui sourient ,au doux regard prèsent

  (déposé à la sacem)

 

Samedi 24 novembre 2007 à 10:25

les versants de la mort  (2004)

en tes versants de la mort , oh! tu te sens bien seule

le corps remplit d'incertitude, de tes voisines , tu es l'aieule

plus de pics en ton corps ou de cordes attachées

de tes versants de la mort , y'a des veuves eplorées

qui osera un jour , l'ascension de ton coeur

tuera tu par amour où l'homme s'ra t'il vainqueur  !

  (déposé à la sacem)

 

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 10:02

le court poème oublié  (2004)

sans logique et sans but , ecrire sans réfléchir

pas de fin , pas de chute , quatrains sans avenir

des rimes rangées au fond d'un tiroir, ressorties quelques temps plus tard

des rimes retrouvées , celles d'un court poème oublié

 (déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:59

un courrier inachevé  (2004)

t'as trouvé dans la rue , une lettre sans fin , une lettre perdue

t'as trouvé un matin , ce courrier inconnu

juste une lettre sans nom , juste 'un courrier inachevé

juste un début , un brouillon , quelques quatrains d'amour oubliés

 (déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:54

quand revient l'embellie  (2004)

quand revient l'embellie , d'un ciel bleu dégagé

le soleil rejaillit , rayonnant de gaité

la colère nuageuse , au loin s'en est allée

l'embellie est radieuse , dans le coeur de l'été

estivales eclaircies , sans un coin ombragé

estivales embellies , quand s'approche la rentrée

  (déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:51

en de libres pensées ( 2004)

vers qui s'écoulent en de libres pensées

rimes qui roulent , sur la feuille de papier

oh! l'encre sème des nocturnes quatrains

ceux d'un poème que la nuit retient

et la douceur du soir impose son silence

quand s'écoule l'encre noire , de la plume qui s'élance

en de libres pensées , les vers naissent  et puis veillent

sur la plume fatiguée, loin du jaune soleil

(déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:47

l'ouvrage de la vie  (2004)

la vie est comme une rivière qui s'écoule sans s'assècher

jour après jour, avec grandeur , elle suit son cours

malgrè les évènements parfois douloureux rencontrés dans le passé

la vie poursuit son chemin avec ses  racines de l'hier et l'élan du futur

tout en restant dans un serein prèsent

elle se construit , page après page , jour après jour , créant l'ouvrage

l'ouvrage de son parcours

  (déposé à la sacem)

 

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