Lundi 26 novembre 2007 à 10:14

au rendez vous des parapluies  (2004)

sous l'ombrelle de la pluie , le soleil se cache, n'étant pas de la partie , quand le temps se gate

vint la colère d'un ciel normand sombre

des parapluie arrivèrent en nombre et l'averse préssentie tomba

sous la folle pluie qui dégringola

l'on pu voir des parapluies tout noirs et des tout colorés

oh ! tant de parapluies ouverts sous ce temps pluvieux et couvert

au rendez vous des parapluies , le soleil fit la comédie en ne chantant pas sous la pluie

et dans la ville de Cherbourg , la normandie chanta l'amour

  (déposé à la sacem)

 

Lundi 26 novembre 2007 à 10:08

automne te revoilà  (2004)

automne te revoilà , quand notre été s'en va

 à quatre vous tournez, mesdames les saisons

automne te revoilà , un an passe et déjà, te souviens tu d'hier et de tes anciens vers

te voici dans la ronde du temps

automne voici ton heure , après l'estivale chaleur

et comme toujours quand tu prend la fuite , l'hiver prendra ta suite

des vers longs ou bien courts naitrons au coeur de la froide saison

puis le printemps aussi verra eclore des rimes de la vie au profond de son corps

 (déposé à la sacem)

 

 

Lundi 26 novembre 2007 à 10:00

la sacoche du voyageur  (2004)

c'est un grand sac en bandoulière, qu'il garde toujours avec lui

dans ses voyages en solitaire , sa belle sacoche le suit

grand voyageur qu quotidien , il va chemin après chemin

avec sa fidèle sacoche et sa boussole en poche

 (déposé à la sacem)

 

Lundi 26 novembre 2007 à 9:57

heures tardives  (2004)

heures tardives , la plume s'active , déversant un torrent de vers

heures tardives , la poésie dérive , dans le lit d'un rivière

heures tardives , les vers se suivent , dans la nuit qu' a pris place

heures tardives , les vers s'écrivent , la nuit défile et passe

et se lève le jour où d'autres rimes accourent

  (déposé à la sacem)

 

Lundi 26 novembre 2007 à 9:54

sourires terriens  (2004)

sourires cachés , sourires voilés , sourires colorés , souri' apeurés

sourires joyeux , des jeunes et des vieux

sourires face au soleil , ou bien sourires au ciel , tant de sourires sur terre

qui s'aiment ou qui se font la guerre

tant de sourires qui se croisent , jour après jour

tant de sourires face à la haine ou l'amour

des sourires qui vont et viennent , des sourires de terriens , des sourires de terriennes

  (déposé à la sacem)

 

Lundi 26 novembre 2007 à 9:45

les campanules de l'amour  (2004)

oh ! couleurs bleues , blanches ou violettes , en forme de clochettes

voici le temps des campanules entouré de deux coeurs qui brulent

au coeur de la flamme d'amour

oh ! belles herbes hautes et folles oh! tendres herbes de toutes sortes

vos doux parfums ouvrent la porte , d'un vent d'amour que sème  Eole

quand deux coeurs s'aiment au grand jour

oh! douce nature non cultivée , y'a en ton corps libre et en friche

le temps de l'amour qui s'affiche , entouré de deux coeurs enlacés

épris dans la flamme de l'amour qui s'anime au grand jour

 (déposé à la sacem)

 

Samedi 24 novembre 2007 à 11:35

rajeunissement artificiel  (2004)

quand les rides sont belles oh! qu'elles sont naturelles, loin d'un rajeunissement artificiel

elles font partie du long parcours,  de ceux et celles qui naissent un jour

que les rides sont vivantes , oh! loin , d'un paraitre changeant

dans l'instant d'être apparentes , elles arrivent naturellement

du quotidien de la vie , elles viennent humainement

c'est comme  çà , c'est ainsi , loin d'un rajeunissement

 (déposé à la sacem)

 

Samedi 24 novembre 2007 à 11:30

dans le sillage du vent  (2004)

dans le sillage du vent , tourbillonnent les feuilles des arbres dénudés

ainsi passe l'automne, dans le sillage du vent , çà vole en tout sens

ainsi passe l'automne , le soir prend de l'avance

et dans les jours qui raccourcissent encore , souffle un petit vent du nord

qui dans son sillage fait un grand balayage

  (déposé à la sacem)

 

Samedi 24 novembre 2007 à 11:06

une pie en vers (2004)

où est la pie bavarde , ses ragots qu'elle colporte

dans les plaines campagnardes où le vent les emporte

mais où est cet animal au bagou qui déferle , un langage sans perle

mais où est elle donc passée quand l'automne nous arrive

dans un décor dénudé , parfois d'un gris qui dérive

mais où est cet oiseau , où est ce grand causeur

quand cessent ici les mots , les rimes de l'auteur

  (déposé à la sacem)

 

Samedi 24 novembre 2007 à 11:01

le poison du serpent  (2004)

le coeur envenimé , du poison du serpent

la proie est étouffée , le coeur agonisant

c'est la fin d'une bête , le festin du reptile

une vie qui s'arrette et une autre qui file

l'animal rassasié , digère son repas,

 sa proie est consommée , doux festin d'un boa

 (déposé à la sacem)

 

 

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