autresrimes

le bleu de ses yeux  (1997)

là où , le vent se lève, les rencontres se font brèves

alors , tu iras ailleurs, voir le bleu, le resplendissant bleu, de ses yeux

là où , la tempête s'abat, les rencontres ne se font pas

alors en un autre lieu, tu iras voir, le bleu de ses yeux

là où le soleil rayonne, les rencontres y sont bonnes

alors , tu y  chercheras, heureux, le resplendissant bleu de ses yeux

là où , le temps est amour, la rencontre d'un jour

te conduiras, vers ce bleu, ce resplendissant bleu, de ses yeux

  ( déposé à la sacem)

A l'école buissonnière  (1997)

A l'école buissonnière, des enfants campagnards

il coure en solitaire, loin des bancs de sa classe

A l'école buissonnière, des enfants campagnards

au bord de la rivière, calmement le temps passe

A l'école buissonnière, des enfants de la ville

elle coure toute seule , vers la route campagnarde

A l'école buissonnière, des enfants de la ville

au bord de la rivère, les voilà qui bavardent

A l'école buissonnière, des enfants amoureux

ils chantonnent dans l'air, le regard souriant

A l'école buissonnière , des enfants amoureux

au bord de la rivière, vient l'amour débutant

(  déposé à la sacem)

l'errance est humaine (1997) "acrostiche"
 
l'érrance est humaine
en une nuit,un jour
revenir,d'une érrance lointaine
revenir d'un grand tour

avec l'envie de courir
ne choisir que le voyage
comme seul avenir
errer, comme les nuages

être poussé par le vent
sentir la brise
tenir son souffle errant

humer, en un bel endroit
un délicieux parfum
marque une pause,ici ou là

arriver en un lieu
inconnu à ces yeux
ni faire qu'un seul arrêt
et repartir après

(déposé à la sacem)



 

l'heure bleue  (1997)

l'amour est plus fort que tout,  c'est un bonheur merveilleux

chaque jour, il donne rendez vous, aux coeurs des amoureux

l'amour est un rendez vous quotidien, de l'heure bleue à la fraicheur du soir

il reste fidèle, dans les quatrains, les poémes , les histoires

l'amour se cache au fond des yeux de la fraicheur d'une nuit

il s'éveille à l'heure bleue, dans le jour , il s'en suis

  ( déposé à la sacem)

pluie torrentielle  (1997)

d'un petit ruissellement, la pluie , coula peu à peu

le temps devint fort menaçant et bientôt orageux

trés noir, fut le ciel, il n'y 'avait aucun nuage

arriva la pluie torrentielle, avec violence et rage

le calme revenu, le temps vint s'éclaircir

le soleil apparu, ne voulant guère fuir

( déposé à la sacem)

au jardin des poémes  (1997)

au jardin des poémes, j'ai cueilli pour ton coeur

celui , où les vers sèment, le meilleur de l'amour

dans ce jardin poétique, où je vais chaque jour

j'arrose les vers romantiques, les quatrains de l'amour

au jardin des poémes,  les rimes font la fête

au jardin des poémes,  joyeux est le coeur du poéte

dans ce jardin poétique, j'ai ton coeur prés du mien

avec nos rimes érotiques, l'amour a son quatrain

 ( déposé à la sacem)

le sommeil éternel  (1997)

tu vas t'endormir, ce soir,  viendra le sommeil éternel

au matin, ils sortiont leurs mouchoirs, apprenant la nouvelle

tu ne vas pas veiller tard, Morphée est là pour t'endormir

c'est pour toi, le dernier soir, le sommeil éternel va venir

tu vas quitter la terre, restera ton sourire, en eux

il restera aussi de toi,  une part de mystère

quand tu auras fermé tes yeux

vas , puisqu'il t'appelle,  vas prendre le chemin

celui du sommeil éternel, demain, ils auront du chagrin

vas, puis que c'est l'heure,  demain, ils auront de la peine

s'est éteint ton coeur, un soir  de la semaine

 ( déposé à la sacem)

l'âme vagabonde  (1997)

avec l'âme vagabonde, je parcoure le monde

chaque jour, mon chemin est ailleurs, vers un autre endroit

chaque jour, va mon coeur, loin d'un lieu étroit

avec l'âme vagabonde, je parcoure le monde

par temps de pluie ou de temps sec, j'explore, je fais avec

chaque jour est un bout d'aventure qui au lendemain à l'autre dure

quand sur ma route se présente , ces lieux où l'hospitalité se fait encore

je m'y arrêtte, y mange , y dors, chaque jour est un souvenirs

dans ce monde où je ne cesse de parcourir

  (déposé à la sacem)

j'aime me perdre au pays du blues  (1997

loin des javas, des valses anciennes, j'ai le blues qui s'écoule dans mes veines

loin des tangos, des rocks en sueur, j'ai le blues qui s'écoule dans mon coeur

j'aime perdre au pays du blues, quand swinguent les mélodies

j'aime me perdre au pays du blues, dans le jazz de la vie

j'aime me perdr' au pays du blues, quand mes dix doigts improvisent

j'aime me perdre au pays du blues, quand mon coeur n'en fait qu'à sa guise

loin des reggaes, d'un folk ancien, j'ai le blues dans les lignes des mains

loin des polkas, d'la pop anglaise, j'ai le blues et je m'y sens à l'aise

loin des skas jamaiquaines, j'ai le blues tout au long d'la semaine

loin des bossas, des tambours d'Afrique, j'ai le blues ,version accoustique

loin du rêve américain, j'ai le blues au coeur de mes refrains

loin de la country, des belles balades, j'ai le blues , couleur promenade

loin des rumbas afro-cubaines, j'ai le blues ,version quotidienne

loin des salsas et des divas, j'ai le blues au bout de mes doitgs

loin de toutes ces musiques, j'ai le blues aux notes dynamiques

loin d' l' air des belles mélodies, j'ai le blues au coeur de ma vie

 ( déposé à la sacem)

le silence berceur (1997)

loin d'un violent vacarme, c'est dans le silence berceur

que se dévoile, le charme,  le charme du séducteur

loin des nuisances, des bruits,  c'est dans le silence berceur

d'une belle nuit, que né le bonheur

loin de tout brouhaha,  c'est dans le silence berceur

que l'amour s'en va,  vers la porte du coeur

loin des cris d'une foule,  c'est dans le silence berceur

qu'un séducteur roucoule, auprès de l'âme soeur

  (déposé à la sacem)