Jeudi 27 septembre 2007 à 21:08

l'amant de la mer  (1998)

t'as révé d'être un bateau, un voilier solitaire

tu parcoures les eaux, tu voyages au coeur de la mer

t'as révé d'être libre, oh! libre comme le vent

tu siffles et tu vibres, au coeur de l'océan

t'as révé , oh! révé et tu es mort , hier

la maladie t'as emporté, toi l'amant de la mer

 (déposé à la sacem)

 

Jeudi 27 septembre 2007 à 21:04

le rendez vous manqué  (1998)

j'ai mis un bateau sur la mer, le bateau a coulé

j'ai mis un bateau  sur la mer, un bateau en papier

j'ai poussé l'avion sur la piste, il n'a pas décollé

j'ai poussé l'avion sur la piste, sans aile, il ne peut pas voler

j'ai voulu démarrer l'automobile, sur place elle est restée

j'ai voulu démarrer l'automobile, mais le moteur il est cassé

j'ai attendu des heures , le car, le car n'est pas venu

j'ai attendu des heure le car, le car ne passe plus

et vous deviez m'attendre, peut être me maudire

encore , encore attendre, pour finalement partir

je n'avais pas sur moi, de téléphone sans fil

et vous non plus je crois, quelle journée difficile

j'aurai voulu vous joindre, vous envoyer une lettre

je n'avais pas de timbre et du papier bien piètre

j'ai voulu vous écrire, je ne le pouvais pas

j'ai voulu vous écrire, votre adresse , je n'ai pas

le temps a pris la fuite, loin d'un rendez vous manqué

le temps a pris la fuite, tant de jours sont passés

un nouveau siècle va naitre, loin d'un rendez vous manqué

un jour, demain peut être, nous aurons oubliés

et vous deviez m'attendre, oh ! je n'ai pu venir

et vous deviez m'attendre, quelle journée à bannir

loin d'un rendez vous manqué, j'y repense aujourd hui

pourtant  j'ai oublié et surement vous aussi

  ( déposé à la sacem)

 

 

Jeudi 27 septembre 2007 à 15:33

le baiser  (1998)

t'avais t'elle promis, ce doux et long baiser

c'est par un temps de pluie, qu'elle te l'avait donné

ell' avait sur le coeur, le bonheur de l'amour

t'as gardé la fraicheur, de ses lèvres de velours

où est ell' à cette heure loin d'une court' histoire

loin de ce long baiser

où sera t'elle , demain ! , dans ce siècle qui prend fin

  ( déposé à la sacem)

Jeudi 27 septembre 2007 à 15:29


sur les routes (1998)

t'as vécus sur les routes
demain autre départ
t'as mis ton sac, dans les soutes
t'as voyagé en car

t'as marché au grand jour
t'as dormi dans la paille
tu as vécu l'amour
il faut que tu t'en ailles

toujours sur les routes
l'amour est derrière toi
ce soir, c'est sous la voute
d'un pont où tu coucheras

a l'heure des beaux jours
tout va et pour le mieux
mais quand l'hiver accoure
tu cherches la chaleur d'un feu

a la morte saison
t'as trouvé, pour l'hiver
un abris, une maison
un travail, une chaumière

et tu as pris de l'age
revu des habitudes
loin de tes voyages
la vie belle , la vie rude

à la fin de l'hiver
ton coeur s'est éteint
voyageur solitaire
loin des routes ,des chemins

  (déposé à la sacem)
 

  

 

 

 

 

Jeudi 27 septembre 2007 à 15:16

le trou de la sérrure (1998)

le fond de tes pensées, vient  il du fond du coeur !

de cette vie à aimer, ta vie est ell' ailleurs !

combien de fois poser, encore la même question

quand faut il se retourner, la tête loin du plafond

d'un instant silencieux, tu contemple  le monde

tout en fermant les yeux, t'imagines, quelques secondes

c'est au delà du rêve, dans un monde sans faille

que tes grands yeux se lèv' et veulent fuir , la bataille

vas tu oser, regarder par le trou de la sérrure, ce que tu ne vois pas de l'intèrieur

verras tu, l'amour en déconfiture ou l'amour qui circul' en ton coeur

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 27 septembre 2007 à 15:08

dix sept ans  (1998)

tu viens de rompre son hymen ,elle découvre la joie

quand en elle se promène, le bonheur, pas à pas

elle a eu dix sept ans et l'envie de l'amour

d'une nuit,  un amant, le premier, pour toujours

de l'instant merveilleux, qu'un amant plus vieux qu'elle, vient de lui offrir

il reste au fond des yeux, le souvenir d'une pucelle, qui vient de s'épanouir

  (déposé à la sacem)

 

 

Jeudi 27 septembre 2007 à 15:03

y'a de la poésie dans l'air  (1998)

y'a souvent des mots qui étonnent, se sont ceux que l'on fredonne

y'a aussi, un ciel qui moutonne, il y'a des fleurs qui bourgeonnent

y'a de la poésie dans l'air, des nuages à plein vent

y'a les mots de Baudelaire,  et ceux de Maupassant

il y'a ceux de ma plume, j'ai écrit , toute la nuit

et ua matin, la brume, me trouve , seul , endormi

j'ai du trop en écrire, j'ai du trier des vers, j'en aurai d'autres à lire

peut être ceux de Ronsard ou les vers d' Eluard

j'ai déjà lu Rimbaud et Verlaine en poémes

j'ai même écrit des mots, murmuré des " je t'aime "

 ( déposé à la sacem)

 

Jeudi 27 septembre 2007 à 14:54

A la morte saison  (1998)

c'est à la morte saison, à l'heure où la plage est à l'abandon que j'accompagne votre coeur

c'est sous le triste temps, le froid glacial d'un vent que je vous suis durant des heures

c'est loin de l'estivale foule et de la chaleur de l'été

qu'ensemble, nous marchons, tout au long de la plage

c'est près d'une mer agitée, de l'élan de la houle

qu'ensemble, nous avançons, dans le blanc paysage

d'un instant de pause, ensemble, nous batissons un chateau de sable en hiver

seul, le vent nous cause, personne aux alentours veint contempler la mer

c'est à la morte saison , qu'ensemble, nous rentrons d'une hivernale promenade

   (déposé à la sacem)

 

 

Jeudi 27 septembre 2007 à 14:47

l'amour d'un duo juvénile  (1998)

hier , fut découverte  ,celle d'adolescents fébriles            

hier la nuit a vu naitre  , l'amour d'un duo juvénile      

  loin d'une jubilation d''une joie intense

 d'un' ivresse passion , d'un flirt sans romance

avec le temps passé , les années séparées

vous voilà , aujourd hui de nouveau réunis

 ( déposé à la sacem)

                                            

 

 

 

Jeudi 27 septembre 2007 à 14:41

ritournelles  (1998)

les ritournelles d'hier , rejaillissent en nos jours

les refrains de la guerre, les couplets de l'amour

les airs d'antan reviennent

en ces temps modernes où la nostalgie est reine

les vieux tubes se compilent, sans l'usure d'un style

tout revient , tout repart

les siècles vont et se suivent, des mélodies y vivent

des ritournelles d'hier aux chansons du futur

il n'y' a pas de frontière,  la musique, au fil du temps, dure

  ( déposé à la sacem)

 

 

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