Vendredi 23 novembre 2007 à 9:54

quand revient l'embellie  (2004)

quand revient l'embellie , d'un ciel bleu dégagé

le soleil rejaillit , rayonnant de gaité

la colère nuageuse , au loin s'en est allée

l'embellie est radieuse , dans le coeur de l'été

estivales eclaircies , sans un coin ombragé

estivales embellies , quand s'approche la rentrée

  (déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:51

en de libres pensées ( 2004)

vers qui s'écoulent en de libres pensées

rimes qui roulent , sur la feuille de papier

oh! l'encre sème des nocturnes quatrains

ceux d'un poème que la nuit retient

et la douceur du soir impose son silence

quand s'écoule l'encre noire , de la plume qui s'élance

en de libres pensées , les vers naissent  et puis veillent

sur la plume fatiguée, loin du jaune soleil

(déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:47

l'ouvrage de la vie  (2004)

la vie est comme une rivière qui s'écoule sans s'assècher

jour après jour, avec grandeur , elle suit son cours

malgrè les évènements parfois douloureux rencontrés dans le passé

la vie poursuit son chemin avec ses  racines de l'hier et l'élan du futur

tout en restant dans un serein prèsent

elle se construit , page après page , jour après jour , créant l'ouvrage

l'ouvrage de son parcours

  (déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:42

A la source naturelle  (2004)

oh! source naturelle, contempler devant toi

ton eau pure et si belle , si fraiche quand on la boit

et s'évader dans l'horizon , d'un décor montagneux

retrouver l'evasion , au travers de tes yeux

voir à perte de vue , près du ruissellement

de toi , belle inconnue qui s'écoule calmement

c'est dans un paisible silence , que ton eau pure et claire danse

oh! belle source qui jaillit , en cette montagne ou tu vis

  (déposé à la sacem)

 

Vendredi 23 novembre 2007 à 9:38

déchirement amoureux  (2004)

enterrer un amour , bien vivant en son coeur

en gardant du passé , les instants du meilleurs

regarder en arrière , sans la haine profonde

enterrer d'un hier , un orage qui gronde

fuir la tempète  intèrieure  qui détruit , qui déchire

accepter sa douleur , pardonner et grandir

et tracer vers demain sans que ce soit facile

un horizon lointain , libre et des moins fragiles

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 21:20

de rimes en rimes troubadours  (2004)

de nouvelles rimes accourent dans l'estival été

des rimes troubadours aux parfums libèrés

le poème suit sa route jusqu'à la dernière goutte de l'encre du stylo

rimes après rimes s'écrivent,  au bonheur des deux rives d'un bien joli ruisseau

dans la verdure fleurie , un doux printemps s'endort

la nature est en vie , quand vient l'été décor

où des rimes ruissellent , s'écoulent au bord de l'eau

que la nature est belle , loin de son blanc manteau

(déposé à la sacem)

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 10:24

                                        rimes nomades  (2004)

rimes en errance , vers d'infinies distances

rimes qui voyagent , vers de nombreux paysages

rimes vagabondes , dans le poétique monde

rimes nomades , vers diverses promenades

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 10:22

l'inerte décor d'une guerre  (2004)

étourdissantes  images , d'un trop vrai reportage

dans les bras de la mort , c'est l'inerte décor

oh! soldat oh G.I , la vie t'a fausser compagnie

adieu l'orientale pagaille , ton corps retourne dans ton pays

oh ! atmosphère morbide , quand le destin décide , face aux chars militaires

orphelins de la guerre , le fusil à la main , quel futur ! vers demain !

et il y'a la mort qui se gausse du pèril des civils

y'a le pétrole à la hausse , derrière l'écran , des images défilent

étourdissantes images , d'un trop vrai reportage

  (déposé à la sacem)

 

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 9:27

le soldat et le poète  (2004)

dans un lit d'herbes folles , ce poème m'est venu

loin du fusil à l'épaule , du soldat inconnu 

du soldat , oh! triste rôle , dans sa guerre quotidienne

tandis que pour moi , la plume s'envole , vers des rimes sereines

dans un vent poétique , ell' disperse des mots

loin de l'état critique , d'un guerrier , non héro

qui deverse son sang , allongé dans un champ

et vient le silence inerte , je quitte ces folles herbes vertes

loin de la mort d'un soldat , tombait hier au combat

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 22 novembre 2007 à 9:13

Viet-nam Saigon  (2004)

dans la jungle sans fin  , la machette à la main

avec la peur au ventre ils allèrent , dans le Viet-nam Saigon de l'enfer

armes blanches et longs fusils , un vétéran au sol qui git

dans la faune sauvage , oh ! quel triste carnage

et de nos jours , des guerres encore brisent l'amour , laissent des morts

la paix accoure , à court d' idée !! et à quel prix !

le sang versait qui la repousse vers demain

accords signés , poignées de mains , Saigon du passé

d'autres guerres sont vivantes , de leurs fins retardées

laissent  un nombre infini de victimes innocentes

 (déposé à la sacem)

 

<< Page précédente | 120 | 121 | 122 | 123 | 124 | 125 | 126 | 127 | 128 | 129 | Page suivante >>

Créer un podcast