autresrimes

serait ce tant à ofrrir  (2006)

serait ce un jour sans fin, la nuit inachevée 

 un rêve venu de loin ou la réalité

serait ce l'éphémère ou bien peut être plus

un espoir, une prière, un désir que tu eusses

serait ce l'imparfait ou le présent bien net

un futur mal mené , au coeur de nos planétes

serait ce la perle rare , l'introuvable trouvé

dans ce temps qui s'égare , un oui réalisé

serait le flou total ou un sens bien précis

dans ce temps qui cavale, dans nos jours et nos nuits

serait ce un peu d'amour, dans l'existence humaine

du bonheur en velours qui peu à peu s'égrene

serait ce la non guerre ou la fin d'une trève

dans ces quatrains qui errent, entre réel et rêve

serait ce un long voyage, pour accueillir la paix

l'étape d'un péage, oh! du temps écoulé

serait ce tant à ofrrir , dans ce monde quotidien

d'un présent à gravir , en ses marches , vers demain

serait ce tant à écrire , de ces curieux quatrains

qui feront réfléchir , différemment chacun

 (déposé à la sacem)

dans la rue  sans souci  (2006)

dans la rue  sans souci, y'a pas de stress pollueur

ni d'humaines folies qui procurent la peur

dans la rue sans souci, c'est le temps du bonheur

de la joie de la vie qui accueille tout les coeurs

dans la rue sans souci, oh! c'est le doux parfum

des regards éblouis, oh! des regards sereins

dans rue sans souci, c'est le temps de l'amour

pour les coeurs de la nuit et pour les coeurs du jour

dans la rue sans souci , il n'y'a pas d'enfer

rien que du paradis, pour des vies, sans la guerre

dans la rue sans souci, y'a comme un air rêveur

sur fond de poésie, oh! loin d'un morne ailleurs

dans la rue sans souci, y'a une part de rêve

et l'espoir qui sourit , quand des rimes s'achèvent

  (déposé à la sacem)

un soleil et une lune  (2006)

elle rêvait d'un soleil , au milieu de son coeur

pour briller , aux merveilles, des rayons du bonheur

elle rêvait d'horizons à n'en plus finir

de belles destinations , d'endroits à découvrir

il rêvait d'une lune , au milieu de sa vie

rousse, blonde ou bien brune, qui berçerait ses nuits

il rêvait de connaitre , le pays de l'amour

avec celle qui peut être , serait la lune de ses jours

oh! voici qu'un beau jour, son soleil , elle croisa

et sa lune l'accueillit , sous son croissant d'amour

  (déposé à la sacem)

c'est un dimanche  (2006)

c'est un dimanche bien familier, c'est une journée ordinaire

vingt quatre heures , rien de particulier, où y'a de la solitude dans l'air

c'est un dimanche, où coure l'ennui, c'est une journée, sans passage

vingt quatre heures, où beaucoup de vies se retiennent elles même en otage

c'est un dimanche , fin de week end , c'est une journée sans visite

vingt quatre heures , une à une qui trainent, où des coeurs isolés palpitent

(déposé à la sacem)

diner festif , sous les étoiles  (2005)

autour d'une verte table , il y'a les convives

les invités d'une fable, en ces rimes qui s'écrivent

y'a la fête animale, oh! le festif diner

un soir , sous les étoiles, en plein coeur de l'été

tout le monde est venu, rainettes, coléoptères

demoiselle en tenue, cigale et papillon

quand madame nature , reçoit en son domaine

dans son grand bol d'air pur, il y'a même la daine

qui retrouve ce soir , oh! le bel étalon, qu'elle garda en mémoire

celui du bord de l'eau, oh! la saison dernière

qui aprés un galop , eut bu dans la rivière

retrouvailles pour certains ou plaisir de se voir

autour de ses voisins , sous les étoiles , le soir

(déposé à la sacem)

le cheval sauvage  (2005)

après un long galop , au travers de la plaine

un cheval s'arreta , au bord d'une rivière

il y but un peu d'eau, . Tout à coup une daine

à son tour approcha , tout deux se saluèrent

le joli cervidé , au pelage brin doux

se mit à boire , puis reprit son chemin

seul, resta l'équidé , se secouant le cou

quand soudain , vint le voir , se posant sur son cou

un petit  coléoptère , de la saison printanière

qui resta peu de temps , trés vite , s'envolant

et le cheval sauvage , après ce temps d'arrêt

oh! reprit son voyage , d'un élan non préssé

   (déposé à la sacem)

y'a comme un air de fête  (2005)

y'a comme un air de fête , un goût de fin d'année

avec quelques emplettes et des plats mijotés

y'a comme les petits plaisirs , d'être autour du sapin

les cadeaux à offrir , à ceux qu'on aime bien

y'a comme un an passé et bientôt , l'an nouveau

des fêtes partagées , des instants conviviaux

mais il y'a aussi , un goût de déjà vu

celui du non oubli , pour tout ceux de la rue

les solitaires , les anonymes , les disparus d' la société

vivants ou morts , loin de ces rimes , dans ce monde d'inégalités

  (déposé à la sacem)

sous  les ailes de l'amour  (2005)

envolez vous ensemble , dans le même horizon

celui qui vous ressemble, vous unit pour de bon

oh ! glissez sous les ailes , les ailes de l'amour

au coeur du septième ciel , où le bonheur accoure

laissez vous envahir , des frissons interieurs

des instants de plaisir qui font battre vos coeurs

gardez vous des instants , de communication

ceux qui font dans le temps , la durée de l'union

   (déposé à la sacem)

le vieil éléphant  (2005)

direction le cimetière , il va , le pas trainant

oh ! ce grand mammifère , oh ! ce vieil éléphant

il connait le chemin, il sait comment l'atteindre

ce lieu où l'on s'éteint , il y va sans le craindre

au fond de sa mémoire , il revoit de sa vie

tout ces chasseurs d'ivoire, le traquant jour et nuit

mais bien plus malin qu'eux, il s'en sortit toujours

et le voilà très vieux, c'est la fin du parcours

le naturel départ , en ce lieu qui l'accueille

animal au revoir , les rimes ont fait leur deuil

  (déposé à la sacem)

au bord d'une mare  (2005)

y'a la vie animale qui doucement s'active

d'un début matinal , où le soleil arrive

au pied d'un nénuphar , une libellule prépare

son envol imminent , dos au soleil levant

des grenouilles s'éveillent , quand perce le soleil

dans cette journée nouvelle , s'éloigne une demoiselle

et la journée s'avance , dans un temps rayonnant

les nénuphars commencent à bronzer calmement

un papillon se pose , au près de cette mare

le temps d'une courte pause et déjà le départ

et non loin de cette mare , près de ses environs

sous les étoiles d'un soir , dormira le papillon

avec au près de lui , l'entourant dans ses ailes

une cigale qui atteint le septième ciel

 a quelques mettre d'eux , il y'a deux coccinelles

oh! les yeux dans les yeux , qui dinent aux chandelles

  (déposé à la sacem)