Jeudi 18 octobre 2007 à 10:30

ah! nos jolies chansons françaises  (2003)

elles vont avec le temps, laissant deux vieux amants, vieillir éternellement

ah! nos jolies chansons françaises, elles ont une bohème et une javanaise

elles ont des refrains de toujours, avec des textes aux mots d'amour

elles ont des emmène moi danser, un coeur grenadine,des que je taime  à volonté

elles ont aussi des gris clairs et gris foncés, une bille de verre

et un voilà l'été , ell' ont d'autres éternels succés

ah! nos jolies chansons françaises, leurs douces mélodies nous plaisent

de notre coeur à nos oreilles, ell' nous envoutent,  nous emerveillent

  (déposé à la sacem)

 

Jeudi 18 octobre 2007 à 10:23

A l'heure où j'écris  (2003)

A l'heure où , j'écris mes vers, dans un silence solitaire

y'a des gens qui connaissent l' enfer, des bombardements surs leurs terres

A l'heure où, j'écris mes vers, y'a des soldats qui errent en plein coeur du désert

A l'heure où, j'écris mes vers, y'a des gens qui enterrent

un proche  une soeur, un frère, une victime de la guerre

A l'heure où, j'écris mes vers, venus du profond de ma chair

y'a des soldats , dans la poussière et des civils qui vont se taire

loin d'un champs de bataille austère, ici je referme mes vers

dans ce poétique univers

 (  déposé à la sacem)

Mercredi 17 octobre 2007 à 20:45

les yeux de la ville  (2003)

quand les yeux de la ville ont fermés leurs paupières

et que tout devient vil ou qu'il n' y'a rien à faire

c'est l'solement total, le temps s'enfuit, s'écoule

oh! que tout est banal, très loin d'un bain de foule

mais est c' ailleurs, en l'absence du jour

dans l'isolement du coeur, que se ressource l'amour

de ton propre intèrieur

A cette heure tardive, quand dehors rien n' s'active

finalement le banal n'est plus

c'est le bonheur venu, qui le remplace si bien

quand sera t'il demain !

fuiras tu , cette foul' en bain, marginal' à tes yeux

fuiras tu, ce sans cesse va et vient, qui t'oublie peu à peu

une pièce par ci , par là, qu'on jette sans un regard

et un monde de lois qui te chasses du trottoir

 (déposé à la sacem)

 

Mercredi 17 octobre 2007 à 20:35

printemps de l'amour (2003)

au rendez vous des sentiments, y'a des bisous dans le cou

des lèvres sur les joues, la pudeur d'un instant

et un frisson qui envahit le corps, quand le vent fait la bise

A l'ouverture du doux printemps, ton hirondelle d'amour revient

elle roucoule à sa guise, dans un p' tit vent du nord

aimer à la folie, aimer éperdument

et l'amour bat de l'aile, ne roucoule plus au vent

oh! qu'il fait déjà froid, en toi cour' un frisson qui te glace les os

oh! les saisons s'écoulent, direction , pays chaud

et rendez vous  chez nous, au prochain des printemps

des printemps de l'amour

  (déposé à la sacem)

 

Mercredi 17 octobre 2007 à 20:19

dans les pages d'un journal  (2003)

dans les pages d'un journal, çà nous édite , l'anormal

la une d'un monde qui tourne mal et les gros titre du local

çà publie le sportif , au meilleur de sa forme

çà rectifie , l'erreur énorme, de l'édition de la veille

de bon matin, çà imprime, le déchirement de la vie conjugale

la détresse, la mort , la déprime et bonne nouvelles régionales

dans les pages d'un journal, c'est l'évolution d'une guerre

il y'a la vie , sur le papier, des gens d'ailleurs et d'ici

y'a la vie en tristesse, y'a la vie en bonheur

dans les pages d'un journal, y'a du festif, du plaisant, de l'amer

  ( déposé à la sacem)

Mercredi 17 octobre 2007 à 12:05

toi qui est née sous x  (2003)

tu as des parents d'adoption qui ont pour toi , amour et affection

mais ils ne t'ont pas mise au monde, toi qui est née sous x

et en ton coeur , la colère gronde, un rêve , tu te fixes

retrouver ceux qui t'ont conçu, cet enfant, cette peau , cette chair

tu es le x ,l'inconnue, oh! cette fille sans repère

et pourquoi donne t'elle souvent raison à ceux qui abandonneent

cette loi qu'empèche d'avoir le nom et l'adresse des personnes

qui t'ont conçu ,un jour , lors d'un acte d'amour

  (déposé à la sacem)

 

 

Mercredi 17 octobre 2007 à 11:40

A la criée de bon matin  (2003)

A la criée de bon matin, c'est l'heure de vendre les poissons

la péche fraiche des marins

dans les filets, y'a bonne prise, poisson tendre à la chair exquise

de bon matin, y'a la criée, en ce port breton où je suis

le soleil a montré son nez et la Bretagne me sourit

j'ai posé mes pieds , dans ton port, avec le sac sur le dos

je vais filer au nord, par le premier bateau

au revoir, la criée et en avant la mer

la grande voile est hissé, je regagne ma terre

  ( déposé à la sacem)

Mardi 16 octobre 2007 à 15:08

dans le café du coin  (2003)

il n'a pas vraiment soif , mais , du matin au soir

l'alcool et lui s'agrafe, quand il commence à boire

c'est toujours le premier à l'heure de l'ouverture

et toujours le dernier à l'heure de fermeture

du café du village

il déssoule la nuit, il s'enivre le jour

ainsi passe sa vie à vivre dans ce bourg

dans le café du coin, c'est le client fidèle, l' habitué quotidien

  ( déposé à la sacem)

 

Mardi 16 octobre 2007 à 14:58

toi et moi , ce soir  (2003)

toi et moi , ce soir  , sous un clair de lune, un croissant doré

la mer est toute noire oh! morne lagune, la plage est polluée

quell' est ton histoire à dormir debout, j'voulais pas y croir',çà paraissait fou

y'a pas de fable, non c'est du vécu, je vois le sable qui n' respire plus

d'un trop vrai réel au delà d'un rêve,

la plag' était belle  les pollueurs l'achève

faites marche en arrière, dégzer ailleurs

oh! triste est la mer, oh! noir est son coeur

toi et moi , ce soir, on déplore tout çà

en gardant l'espoir, qu'la mer survivra

qu'ell' se remettra de son triste sort

et demain sera, pas d'répons' encore

toi et moi, ce soir, sous un clair de lune, un croissant doré

toi et moi, ce soir, juste penser bien

et dire au revoir, finir les quatrains

  ( déposé à la sacem)

 

 

Mardi 16 octobre 2007 à 14:46

un verre vide  (2003)

posé sur une table, y'a un verre vide qu' attend

qu'une main , bien aimable, le remplisse à présent

et lorsqu'il sera plein, des lèvres viendront tremper

et gouter un bon vin, un bon rosée bien frais

posé devant  l' assiette, le verre attend encore

qu'une main, verse et mette, un bon cru en son corps

d'une robe colorée à un tendre bouquet

il attend ce bon vin, dans l'ivresse d''un quatrain

posé sur une table, y'a enfin , un verre plein

tout à fait consommable, au contenu divin

mais le verre plein se vide, il est entièrement bu

et il rest' à l'affut, d'une bouteille non vide

espèrant qu'une main, lui versera encore

oh! ce délicieux vin, qui enivre son corps

  ( déposé à la sacem)

 

 

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