Lundi 22 octobre 2007 à 18:59

dans le langage des fleurs  (2003)

aimez vous sous le lilas blanc en éffeuillant la marguerite

déclarez vous vos sentiments avec un bouquet de tulipes

entre pudeur et delicatesse, offrez vous des violettes et des bleuets

avec ardeur, cueillez l oeillet, avec amour , cueillez la rose

oh! s'envient le muguet, que la peine soit close

voilà le retour du bonheur, dans le langage des fleurs

  (déposé à la sacem)

 

Lundi 22 octobre 2007 à 18:48

au pied d'un arbre en fleurs  (2003)

au pied d'un arbre en fleurs, c'est la vie qui rayonne

au pied d'un arbre en fleurs , c'est l'amour qui bourgeonne

c'est l'amour de l'été, c'est l'amour d'une saison

pas l' amour printanier, d'une amourette sans passion

saison aprés saison, l'amour s'en va mourir

ou renait pour de bon et se laisse cueillir

au pied d'un arbre en fleurs, c'est l'amour qui murit

au pied d'un arbre en fleurs, c'est le bonheur de la vie

   (déposé à la sacem)

Lundi 22 octobre 2007 à 18:43

juste le temps d'une amourette  (2003)

assis sur le gazon, vous cueillez une paquerette

pètale après pètale, vous l'éffeuillez,juste le temps d'une amourette

A l'heure où le printemps s'installe, à l'heure où le soleil rayonne

tombe le dernier pètale et l'amour tourbillonne

et la jolie paquerette se termine, quand l'amourette s'est fanée

le poéte clot ici ses lignes

le printemps laisse la place aux doux amours de l'été

 (déposé à la sacem)

 

 

Lundi 22 octobre 2007 à 10:05

un rêve classique  (2003)

j'ai des adagios dans la tête, des symphonies et des préludes

en piano, violon et trompette, dans un rêve  classique

j'ai au bord d'une rivière, une rencontre peu ordinaire

y péchant la truite de Schubert, dans un rêve classique

j'ai la joie , je suis enchanté, de croiser Mozart et sa flute

qui m'invite à venir jouer, un quatre mains, piano en ut

dans un rêve classique

et quatre saisons sont passées, Vivaldi composa un air

lui aussi , je l'avais croisé, c'était déjà,   l'année dernière

dans un rêve classique

où sont passés     barber et puis Albinoni

les voilà dans mes vers , leurs adagios aussi

mais voilà que ce rêve classique,soudain fugue et s'enfuit

adieux les grands airs symphoniques, quand se termine la nuit

 ( déposé à la sacem)

 

 

Dimanche 21 octobre 2007 à 15:28

le dormeur dans le prè  (2003)

le dormeur dans le prè  n'est pas celui du val

que Rimbaud composa

c'est un autre dormeur, les yeux vers les étoiles

d'un printemps deux mille trois

cent trent' trois ans séparent, celui du val au prè

chacun a son histoire, tout deux reposent en paix

mais ont ils vécus le bellicisme  ou l'instant du geste d'héroisme

avaient ils en eux, l'amour du combat ! ou bien , la désertion du non soldat !

(déposé à la sacem)

 

 

Dimanche 21 octobre 2007 à 15:18

le non bélligèrant  (2003)

oh! nonchalance, manque d'ardeur

triste  prèsence, dans la noirceur

oh! morne guerre, triste conflit

au gôut amer, aux coeurs sans vie

loin de tout ceci, il y'a le non bélligèrant

un être , sans fusil, le coeur libre et vivant

 ( déposé à la sacem)

 

Samedi 20 octobre 2007 à 11:15

juste un quatrain  (2003)

juste un quatrain
aux premiers rayons du soleil
juste un quatrain
dans un doux printemps qui s'égaye

 (déposé à la sacem)

 

Samedi 20 octobre 2007 à 11:12

y'a des musiques qui font  (2003)

y'a des musiques qui font pleurer, qui font jaillir un'émotion

qui font tourbilloner, le coeur dans la passion

y'a des musiques qui vous conduisent, vers des voyages merveilleux

quand leurs mélodies sont exquises, qu'elles vous envoutent le coeur, les yeux

y'a des musiques qui vous  émeuvent et vous font frissonner de joie

y'a des anciennes et y'a des neuves, des comme celles qui ne s'oublient pas

loin d'un titres éphémère au gôut âpre insipide

y'a des musiques sincères qui ne prènent pas une ride

  ( déposé à la sacem)

 

 

Samedi 20 octobre 2007 à 10:50

au printemps de la plume  (2003)

au printemps de la plume

que nos vers sont amères, que nos vers sont courtois

nous poètes nous eumes

hier écrit la peine, un autre jour ,la joie

sans masque et sans costume

souvent les mots nous viennent, quand on n' s' 'y attend pas

il n'y' a pas de coutume

aucunes lois qui gènent, il n'y'a rien de tout çà

nos rimes sont éternelles, ell' sont nos souvenirs

notre mémoire fidèle, d'hier à l'avenir

d'un printemps de la plume, aux saisons à venir

nos rimes se consument, mais jamais sans vieillir

c'est elles qui font le deuil, nous voyant disparaitre, nous poètes vieillissants

elles rest'ent en nos recueils,  nous les avons vu naitre, nos plumes en font  serment

mais , nous poètes absents, du haut de nos nuages

nous sommes encore prèsent, quand vous lisez nos pages

  (déposé à la sacem)

 

 

Jeudi 18 octobre 2007 à 10:36

la joie mais pas la peine  (2003)

j'aurai pu écrire la peine, mais la joie est venue

et déjà le bonheur , m'entraine, je n'en suis pas déçu

et si ma plume devait perdre la joie

alors je devrai écrire la peine

mais çà n'en vaudrait pas, je garde le bonheur en moi

j'ai donc , écris la joie, çà en valait la peine, la peine d' écrire celà

quand on se donne la peine, d'avoir le coeur en joie

circule dans ses veines, un bonheur bien à soi

  (déposé à la sacem)

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